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La Semaine Sainte et Pâques

Bonjour à toi!
Étant donné que nous n'aurons pas de catéchisme pour les deux prochaines semaines, à cause des Offices Religieux de la Semaine Sainte, nous allons donc orienter notre cours sur :

LA SEMAINE SAINTE ET PÂQUES

Six jours avant la Pâque, Jésus se rend à Béthanie, où demeure Lazare, celui que Jésus avait ressuscité des morts. On donne un repas en son honneur ; Marthe sert, et Lazare prend le repas avec Jésus, les Apôtres et d'autres invités.

Au cours du repas, Marie-Madeleine prend un vase rempli d'un précieux parfum et en verse sur les pieds de Jésus ; elle les baise, les essuie avec ses longs cheveux alors que l'odeur suave se répand dans la maison. Judas qui est présent dit : «Pourquoi gaspiller ce parfum? On aurait pu le vendre pour en donner l'argent aux pauvres?!» Jésus lui répond : «Laisse-la. Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous ; mais moi, vous ne m'aurez pas toujours.»

Après le repas, Jésus se dirige vers Jérusalem avec ses Apôtres. Il leur donne alors ses instructions pour les préparatifs du repas de la Pâque, et envoie deux de ses disciples au village voisin, chercher une ânesse et son ânon. Revenant vers leur Maître, les disciples les recouvrent de leurs vêtements et ils font asseoir Jésus. Alors le peuple étend ses vêtements sur le chemin ; on coupe des branches aux arbres et on en recouvre la route. Et toute la foule rassemblée s'écrie : «Hosanna au Fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna au plus haut des cieux!»

* Pourquoi selon toi, la dernière semaine du Carême est-elle appelée «Semaine Sainte»? Elle est appelée ainsi parce que nous célébrons le souvenir des plus grands Mystères accomplis par Jésus-Christ, pour notre Rédemption.

* Quel Mystère nous rappelle le Dimanche des Rameaux? Le Dimanche des Rameaux ou de la Passion nous rappelle l'entrée triomphante que Jésus fit à Jérusalem, six jours avant sa Passion.

De plus, la liturgie de ce Dimanche nous rappelle les événements dramatiques de la fin de la vie publique de Jésus, de Sa Passion, de Sa Mort sur la Croix et de Sa mise au tombeau. C'est ce que nous lisons dans l'Évangile du Dimanche des Rameaux, et c'est ce que nous relirons lors de l'Office du Vendredi Saint. Événements dramatiques, oui!, par toutes les sortes de souffrances que Jésus a endurées pour nous... ; événements si sublimes aussi, de par l'Amour ineffable de Son divin Coeur.

LE JEUDI SAINT

Le Jeudi Saint est le jour béni où Jésus institue le Sacrement de l'Eucharistie lors de la Dernière Cène. C'est le «Discours de Jésus au Cénacle» que nous pouvons lire et méditer longuement dans les chapitres 13 à 17 de l'Évangile de saint Jean. C'est aussi la trahison de Jésus, par un de Ses Apôtres, et le reniement de Pierre.

C'est aussi en ce jour qu'il endure pour toi, pour moi, pour toute l'humanité, les terribles souffrances de l'Agonie. Jésus est là, au Jardin des Oliviers ; Il demande à ses trois Disciples de veiller avec Lui, mais eux, s'endorment ; Il reste donc seul...

Il voit tous les péchés des hommes qu'Il vient racheter... Il est consolé lorsqu'Il voit que son Précieux Sang sera Source de grâces pour les âmes... par contre, et dans une grande douleur, Il voit aussi les âmes pour qui son Sang sera versé inutilement, à cause de la dureté de leur coeur...

L'Agonie de Jésus est un Mystère de souffrance, d'amour, d'abandon du Père qui doit voir en Son Fils Bien-Aimé, la Victime offerte pour nous racheter... Jésus souffre tellement, que le sang perle de sa peau, et tombe pour purifier la terre...

C'est en regardant Jésus dans ce Mystère, avec beaucoup d'amour, que nous apprenons à regretter sincèrement nos péchés et nos manquements. Il est assuré que si nous prenons l'habitude de regarder Jésus à l'Agonie, avant notre examen de conscience, notre vie intérieure ne sera plus la même parce que nous penserons que notre salut a coûté le Sang de notre Jésus...

* Pourquoi, le Jeudi Saint, dépouillons-nous l'autel après la Messe? Nous dépouillons l'autel pour nous représenter Jésus dépouillé de Ses habits pour être flagellé et attaché à la Croix. Rappelons-nous que l'autel représente le Christ Jésus, comme nous l'avons mentionné dans la leçon sur «La Messe #3". Nous revivons, dans nos églises, près de 2000 ans plus tard, la Réalité du Mystère de la Cène et de la Croix.

* Que signifie le «lavement des pieds» le Jeudi Saint? Les Prêtres font le «lavement des pieds» :

- pour nous rappeler que Jésus, qui s'est abaissé en lavant les pieds de Ses Apôtres, est venu pour servir et non pour être servi, et que nous devons faire ainsi, les uns envers les autres ;
- parce que Lui-même a enseigné à ses Apôtres et à tous les fidèles à imiter son exemple ;
- pour nous enseigner aussi que nous devons purifier notre coeur de toute souillure avant les Fêtes Pascales, et exercer les uns envers les autres, les devoirs de charité et d'humilité chrétienne.

* Pourquoi visitons-nous le Très Saint-Sacrement le Jeudi Saint? Nous visitons le Très Saint-Sacrement en souvenir des douleurs endurées par Jésus en plusieurs lieux, comme au jardin des Oliviers, chez Caïphe, chez Pilate, chez Hérode et sur le Calvaire.

* Dans quel esprit faisons-nous l'adoration du Jeudi Saint? Il nous est grandement recommandé de faire l'adoration du Jeudi Saint avec une sincère contrition de nos péchés, car ils sont la véritable cause de la Passion et de la Mort de Jésus, notre Rédempteur.

Nous Lui exprimons aussi toute notre reconnaissance pour le Sacrement de l'Eucharistie qu'Il vient d'instituer, et qui nous Le rend bien présent, à chacune des Messes qui se célèbrent dans le monde depuis ce jour, jusqu'à la consommation des siècles, car Il nous a assuré Sa présence.

À cela, ajoutons nos vifs sentiments de compassion pour les peines de Jésus, en méditant sur ses nombreuses et douloureuses souffrances endurées au Jardin des Oliviers ; de son angoisse profonde lorsque son Père Lui présente le Calice d'amertume ; de l'abandon de ses Disciples qui ne peuvent veiller une heure avec Lui, alors qu'Il a tellement besoin de soutien et de réconfort ; sur ce qu'Il souffre au prétoire de Pilate ; etc...

LE VENDREDI SAINT

Après l'arrestation de Jésus, la cohorte de soldats conduit d'abord Jésus chez Anne, beau-père de Caïphe, qui est grand-prêtre cette année-là. Puis on emmène Jésus chez Caïphe, qui est Juif lui-aussi, et qui L'interroge, non par souci de vérité, mais plutôt pour Le livrer à la mort. Jésus, dans la même nuit du Jeudi au Vendredi, est ensuite conduit au prétoire, chez Pilate, puis chez Hérode et de nouveau chez Pilate qui le fait cruellement flageller...

Non satisfaits de leur cruauté, les soldats lui tressent une couronne d'épines qu'ils Lui enfoncent brutalement sur la tête... ce sont de nouvelles blessures qui Lui sont infligées, et le Sang d'un Dieu coule encore... Ils Le frappent : ils Lui crachent au visage ; ils Le font beaucoup souffrir... L'Amour de Jésus endure tout pour nous, pauvres pécheurs qu'Il aime...

Lorsque les soldats ramènent Jésus à Pilate après tant de mauvais traitements - Jésus est si défiguré et si faible -, Pilate cherche à Le relâcher car il sait bien qu'Il est innocent, mais par peur de la foule qui préfère que Barabbas soit relâché, il ordonne alors que Jésus soit crucifié...

Quelle lourde responsabilité, et surtout, quelle terrible conséquence à cause de la lâcheté de Pilate!... Un Innocent, le Fils de Dieu, est mis à mort...

C'est donc le dur «Chemin de la Croix» qui commence pour Jésus et dont nous connaissons bien les différentes Stations pour les avoir souvent méditées... Pensons aussi à la Douleur et à l'Amour de Marie, Sa Mère... Elle porte le nom de Notre-Dame des Douleurs, et ce n'est pas pour rien...

Elle suit son Fils, Jésus, jusqu'au Calvaire, Le soutenant de sa prière et de sa Foi profonde. Elle est présente lors du crucifiement... Elle recueille le «Testament d'Amour» que Jésus donne avant de mourir, en lui disant : «Femme, voici Ton Fils» ; et ensuite, Il s'adresse à Jean, le Disciple Bien-aimé, en disant : «Voici ta Mère.»...

Et l'Évangile nous dit qu'à partir de cette heure-là, le Disciple La prit chez lui.

En la personne de Jean, c'est chacun de nous qui était présent pour recevoir cet «héritage» de Jésus, d'où l'importance pour nous, de faire comme le «Disciple Bien-Aimé du Seigneur» et de prendre Marie chez nous!

Puis Jésus meurt sur la Croix après trois longues heures d'agonie... Tout est fini!...

Au pied de la Croix, il y a Marie et Jean, Marie-Madeleine et quelques femmes... Les autres Apôtres sont dispersés à cause de la peur...

Ils se rassembleront à nouveau au Cénacle, tout craintifs et tremblants, et Marie les soutiendra par Son Amour maternel car Elle sait que, par le Sacrifice de Son Fils, est née l'Église dont Elle est la Mère...

* Pourquoi, le Vendredi Saint, l'Église prie-t-elle d'une façon particulière à la Prière universelle, pour toutes les personnes, et tout spécialement pour les païens et les Juifs? C'est afin de montrer que Jésus-Christ est mort pour tous les hommes et pour demander, en faveur de tous, les fruits de Sa Passion et de Sa glorieuse Résurrection.

* Pourquoi vénérons-nous la Sainte Croix le Vendredi Saint? Nous vénérons la Sainte Croix, parce que c'est sur la Croix que Jésus a été crucifié, qu'Il a souffert et qu'Il est mort ce jour-là, pour nos péchés, pour ceux de toute la multitude d'âmes passées, présentes et à venir, et qu'Il L'a sanctifiée par Son Sang.

LE SAMEDI SAINT

D'après la coutume juive, les condamnés qui avaient été exécutés devaient être ensevelis immédiatement. Le Vendredi, après la mort de Jésus, et après que le soldat Lui eut transpercé le côté droit d'un coup de lance, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret, par crainte des Juifs, est allé demander à Pilate le Corps de Jésus, pour l'ensevelir avec des aromates, selon la coutume juive. Il était accompagné de Nicodème qui connaissait et qui aimait aussi Jésus. Ils étaient donc allés, la veille, pour ensevelir son Corps.

Pilate, ayant peur que les Disciples de Jésus viennent voler son Corps, avait mis une bonne garde de soldats devant le tombeau qu'il avait fait sceller, pour plus de sécurité...

Nous en sommes donc au lendemain du drame de la Mort de Jésus ; les Apôtres, craintifs, et les Disciples se regroupent peu à peu autour de Marie et de Jean au Cénacle... Leur coeur, loin d'être fier, est lourd de peine, de peur et de douleur : ils ne verront plus leur Maître... Ils n'ont pas su être à la hauteur, leur courage a flanché, et leur Foi est fortement ébranlée... Ils ne comprennent plus rien aux paroles et aux enseignements de leur Maître... Des vagues de doutes intérieurs les submergent et ils pensent réellement que tout est fini...

* Quelles sont les principales cérémonies du Samedi Saint? Parmi les cérémonies du Samedi Saint, les principales sont : la bénédiction du cierge pascal, et la bénédiction des fonts baptismaux.

* Que signifie le cierge pascal? Il signifie la splendeur et la gloire que Jésus-Ressuscité a apportées au monde.

PÂQUES

Nous pourrions méditer encore longuement sur les événements de la Semaine Sainte car nous n'avons qu'effleuré le sujet. Plus nous méditerons ces événements en notre coeur, à la Lumière de l'Évangile et de la Tradition, plus nous comprendrons quel Amour nous a sauvés et quel Sang nous a rachetés...

La mission de Jésus ne s'arrête pas aux Mystères douloureux et lumineux de Sa Passion. Il y a les jours Glorieux de Sa Résurrection! Quel événement! La Victoire de la Vie sur la Mort et sur le péché!

La Résurrection de Jésus demeure un profond Mystère pour notre foi ; Satan n'a pas eu le dernier mot : désormais, Jésus est notre Vie! Au tombeau où l'on avait déposé Jésus, voilà que la pierre a été roulée... Dès l'aube, Marie-Madeleine rencontre un Ange qui lui dit : «Il est Vivant! Il est vraiment ressuscité! Ne cherchez plus parmi les morts Celui qui est Vivant!». Et, c'est en toute hâte qu'elle va annoncer cette «Bonne Nouvelle» aux Apôtres qui iront, eux-aussi, constater ce grand Miracle!

Marie, la Mère de Jésus, qui a toujours gardé l'espérance en la Résurrection de Son Fils, peut donc nous aider à nous tourner vers Lui, Le Vivant. Elle nous apprend à accueillir la Résurrection de Jésus comme la «Bonne Nouvelle» de toute notre existence. Unis avec Elle, nous avons cette joyeuse espérance dans la Promesse de Jésus qui nous a promis d'envoyer l'Esprit Saint.

Dieu nous aime! Marie nous aime! Nous sommes «Enfants de Dieu»! Ah! Puissions-nous découvrir de plus en plus la beauté de cet Amour ineffable et de toutes les Grâces extraordinaires que Jésus nous a méritées dans tout le Mystère de Sa Rédemption!

* Quel Mystère célébrons-nous en la Solennité de Pâques? Nous célébrons le Mystère de la Résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ et par conséquent, Sa nouvelle Vie glorieuse et immortelle.

* Pourquoi la Fête de Pâques est-elle célébrée par l'Église avec tant de solennité, d'allégresse et de continuité pendant tout l'octave? C'est à cause de l'importance de ce Mystère qui est le complément de notre Rédemption, et qui est le fondement même de notre religion.

* Puisque Jésus-Christ nous a rachetés par Sa mort, comment Sa Résurrection est- elle le complément de notre Rédemption? Par Sa mort, Jésus-Christ nous a délivrés du péché et nous a réconciliés avec Dieu ; puis, par Sa Résurrection, Il nous a ouvert le Ciel et nous a donné l'accès à la Vie éternelle.

* D'où est venu le nom de Pâques qu'on donne à la Fête de la Résurrection de Jésus-Christ? Le nom de Pâques est venu d'une des fêtes les plus solennelles de l'ancienne loi : les Hébreux célébraient cette fête avec beaucoup de cérémonies, mais surtout en sacrifiant et en mangeant un agneau ; maintenant nous la célébrons surtout en recevant, dans l'Eucharistie, le Véritable Agneau, immolé pour nos péchés.

* Que veut dire le mot Pâque? Pâque veut dire passage ; dans l'ancienne loi il signifie le passage de l'Ange qui, pour obliger Pharaon à laisser aller en liberté le peuple de Dieu, tua les premiers-nés de l'homme et du bétail des Égyptiens, et passa, sans les frapper de ce terrible fléau, devant les maisons des Hébreux qu'on avait marquées du sang de l'agneau sacrifié la veille.

Dans la nouvelle Loi, il signifie que Jésus-Christ est passé de la Mort à la Vie et que, par Son triomphe sur le démon, Il nous a fait passer de la mort du péché à la Vie de la Grâce.

* Que devons-nous faire pour bien célébrer la Fête de Pâques? Nous devons : «faire nos Pâques», c'est-à-dire : nous confesser et communier ; adorer avec une sainte joie et une vive reconnaissance Jésus-Ressuscité ; et ressusciter spirituellement avec Lui.


Lecture : Afin de nous aider à mieux comprendre et vivre la Semaine Sainte qui est maintenant toute proche, je t'invite à lire, à méditer et à contempler Jésus en puisant à la source du témoignage de foi de Jean, l'Apôtre Bien-Aimé. Référence : Évangile de saint Jean, au chapitre 11, verset 55 et suivants, jusqu'au chapitre 20.

Si nous avons l'occasion de faire cette lecture et prendre ce temps de méditation devant Jésus-Eucharistie, tant mieux! Si cela nous est impossible, prenons l'attitude que nous propose Jésus : «Pour toi, quand tu pries, retire-toi dans ta chambre, ferme sur toi la porte, et prie ton Père qui est là, dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.» (Matthieu 6, 6)

Et pour que ces pages nous soient profitables, essayons de les approfondir, de porter vers Jésus un regard d'amour tout neuf et attentif, tout comme si c'était la première fois que nous lisions : la fin de la vie apostolique de Jésus ; le dernier repas qu'Il prit avec Ses Apôtres au Cénacle ; les adieux qu'Il leur fit après la Cène ; sa terrible Agonie (qui est racontée dans l'Évangile de saint Luc, chapitre 22, versets 39 à 46) ; la Passion, le crucifiement et la mort de Jésus sur la Croix ; et enfin, la Résurrection.

Rappelons-nous qu'elle est vivante la Parole de Dieu, et que le Seigneur qui est venu faire toutes choses nouvelles, a encore, aujourd'hui, quelque chose à dire à chacun de nous, dans le secret de notre coeur...

Capsules de gentillesse

La semence divine de la charité, que le Seigneur a déposée dans notre âme doit croître, elle doit se manifester dans nos actions et elle doit produire des fruits qui répondent, à tout moment, à ce qui est agréable au Seigneur. Il y a tant d'occasions qui s'offrent à nous durant le Carême, et davantage au cours de la «Semaine Sainte» que nous allons vivre bientôt. Profitons bien de ces jours pour donner un nouvel élan de générosité et pour faire de chaque journée, une belle montée vers Pâques!

Est-ce que je suis prêt à offrir le plus beau des sacrifices, celui de la charité du don et du pardon?

C'est spécialement durant le Carême que le chrétien doit, selon saint Augustin, distribuer deux sortes d'aumônes : il doit donner et pardonner.

À plusieurs reprises, l'Église insiste et enseigne la même chose ; elle nous encourage à pardonner de tout coeur lorsque quelqu'un nous blesse. Nous devons enlever complètement de notre coeur, tout sentiment de haine, de vengeance, et même, supporter les injures...

C'est la digne préparation pour mieux comprendre le Sacrifice de la Messe qui est le Mémorial du Sacrifice de Jésus sur la Croix. Jésus, qui, en mourant, demanda pardon pour ses ennemis, et qui, par amour, offrit sa vie en Rédemption pour nous tous.!

Rappelons-nous que nos petits sacrifices peuvent apporter beaucoup pour le Bien des âmes, en ce temps et en tout temps de l'année. Profitons «pleinement» de «l'Indulgence plénière» que nous pouvons recevoir à chaque nouvelle journée de l'Année eucharistique!

Reste avec nous, Maman-Marie, pour nous aider à bien vivre notre «Semaine Sainte» et à célébrer la glorieuse Résurrection de ton Fils, Jésus, au matin de Pâques ; et donne-nous part à ta Joie rayonnante tout au long de la Saison Pascale!

Bonne lecture! Et,
Joyeuses et Saintes Fêtes Pascales!

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