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Réflexion pascale de Whatcott

«Nous nous souvenons des souffrances et de la mort du Fils unique de Dieu et de sa glorieuse résurrection... Le dimanche de Pâques, nous proclamons avec joie que le Christ est ressuscité.»
Donald Trump, le 31 mars 2024.

Joe Biden et son copain travesti Sam Brinton qu'il a nommé à la tête du
Bureau de l'énergie nucléaire du ministère de l'Énergie (DOE).
Malheureusement pour Sam, il a perdu son emploi après avoir été arrêté trois fois
pour avoir volé les bagages d'autres passagers alors qu'il prenait des vols
pour des affaires financées par les contribuables.

«À l'occasion de la Journée de visibilité des transgenres, nous honorons le courage et les contributions extraordinaires des Américains transgenres et réaffirmons l'engagement de notre nation à former une Union plus parfaite -- où tous les gens sont créés égaux et traités de manière égale tout au long de leur vie. Aujourd'hui, nous envoyons un message à tous les Américains transgenres: vous êtes aimés. Vous êtes entendus. Vous êtes compris. Vous avez votre place ici. Vous êtes l'Amérique, et toute mon administration et moi-même vous soutenons. Par conséquent, moi, Joseph R. Biden Jr., président des États-Unis d'Amérique, en vertu de l'autorité qui m'est conférée par la Constitution et les lois des États-Unis, proclame par la présente le 31 mars 2024 La Journée de Visibilité Transgenre.»
Joe Biden, le 31 mars 2024.

Chers amis,

J'ai passé une belle matinée de Pâques à l'église Pilgrim Lutheran à Hamilton. Le pasteur Peter (le pasteur soudanais à droite) et le pasteur Mark Koehler (assis à gauche, difficile à voir) ont dirigé le service. Le pasteur Mark a prêché et mis l'accent sur une foi significative dans l'oeuvre achevée du Christ et, en effet, alors que notre société oublie et se moque de la mort et de la résurrection glorieuses du Christ et remplace ce jour saint de souvenir par quelque chose de différent, peut-être une nouvelle fête religieuse comme la «La Journée de Visibilité Transgenre», les chrétiens devront trouver leur foi/courage et continuer à laisser briller nos lumières, même face à l'adversité et au rejet.

En effet, l'éventail du rejet et de l'exclusion auquel les chrétiens sont confrontés au Canada aujourd'hui, le ridicule et la caricature dans les médias (mineurs), un peu plus graves et malheureusement de plus en plus courants, les pertes d'emploi et la discrimination en matière d'emploi, ou, plus grave encore, les accusations de crimes haineux et l'emprisonnement possible pour ces chrétiens qui choisissent de s'engager sur la place publique. Pourtant, ces persécutions ne sont rien en comparaison de la Passion du Christ, à laquelle les chrétiens du monde entier sont appelés à réfléchir à Pâques, le jour le plus saint du christianisme.

Le prophète Isaïe a prophétisé comment notre Christ allait souffrir 700 à 750 ans avant sa naissance,

Objet de mépris, abandonné des hommes,
homme de douleur, familier de la souffrance,
comme quelqu'un devant qui on se voile la face,
méprisé, nous n'en faisions aucun cas.
Or ce sont nos souffrances qu'il portait et
nos douleurs dont il était chargé.
Et nous, nous le considérions comme puni,
frappé par Dieu et humilié.
Mais lui, il a été transpercé à cause de nos crimes,
écrasé à cause de nos fautes.
Le châtiment qui nous rend la paix est sur lui,
et dans ses blessures nous trouvons la guérison.
Tous, comme des moutons, nous étions errants,
chacun suivant son propre chemin,
et Yahvé a fait retomber sur lui nos fautes à tous.
Maltraité, il s'humiliait, il n'ouvrait pas la bouche,
comme l'agneau qui se laisse mener à l'abattoir,
comme devant les tondeurs une brebis muette,
il n'ouvrait pas la bouche.
Par contrainte et jugement il a été saisi.
Parmi ses contemporains, qui s'est inquiété
qu'il ait été retranché de la terre des vivants,
qu'il ait été frappé pour le crime de son peuple?
On lui a donné un sépulcre avec les impies et
sa tombe est avec le riche,
bien qu'il n'ait pas commis de violence et
qu'il n'y ait pas eu de tromperie dans sa bouche.
Yahvé a voulu l'écraser par la souffrance;
s'il offre sa vie en sacrifice expiatoire,
il verra une postérité, il prolongera ses jours, et
par lui la volonté de Yahvé s'accomplira.
À la suite de l'épreuve endurée par son âme,
il verra la lumière et sera comblé.
Par sa connaissance, le juste, mon serviteur,
justifiera les multitudes en s'accablant lui-même de leurs fautes.
C'est pourquoi il aura sa part parmi les multitudes,
et avec les puissants il partagera le butin,
parce qu'il s'est livré lui-même à la mort et
qu'il a été compté parmi les criminels,
alors qu'il portait le péché des multitudes et
qu'il intercédait pour les criminels.
[Isaïe 53:3-12]

Dans un sens, lorsque nous souffrons, nous participons à la souffrance du Christ et je crois que la persécution à laquelle nous sommes confrontés a de la valeur en tant que témoignage envers notre culture et notre nation.

Cependant, ce que nous accomplissons dans nos souffrances est bien minime par rapport à ce que le Christ a accompli lorsqu'il a souffert et est mort pour nous.

Notez Isaïe 53:12: «Il a porté le péché de beaucoup et a intercédé en faveur des pécheurs.» Si je vais en prison pour avoir partagé l'Évangile lors du défilé de la fierté homosexuelle de Toronto, je crois que Dieu utilisera cette souffrance pour le bien. Cependant, je n'ai pas la capacité de supporter les péchés de qui que ce soit, car je suis moi-même un pécheur et j'ai grand besoin de pardon pour mes nombreux et graves péchés. À un certain niveau, je peux intercéder pour les pécheurs quand je suis en prison, et je le ferai probablement, mais cette intercession n'est pas plus profonde que l'intercession que je peux faire en ce moment même dans le sous-sol où je suis assis alors que j'écris cette réflexion. Les chrétiens peuvent et doivent intercéder les uns pour les autres, mais nous devons reconnaître que nos intérêts ne sont efficaces qu'en raison de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ.

«Quelqu'un parmi vous souffre-t-il? Qu'il prie. Quelqu'un est-il joyeux? Qu'il entonne un cantique. Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les presbytres de l'Église et qu'ils prient sur lui après l'avoir oint d'huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient et le Seigneur le relèvera. S'il a commis des péchés, ils lui seront remis. Confessez donc vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La supplication fervente du juste a beaucoup de puissance.»
[Jacques 5:13-16]

Notez que Saint Jacques a ordonné aux anciens de prier et d'oindre avec de l'huile «au nom du Seigneur». Notre Seigneur est le Christ crucifié et ressuscité, dont nous nous souvenons de la passion à Pâques. C'est sa mort et sa résurrection qui ont le pouvoir d'expier nos péchés, et c'est sous son autorité que nous pouvons prier avec foi pour les autres afin qu'eux aussi puissent expérimenter la guérison et le pardon des péchés. En effet, le pasteur Mark m'a rappelé à Pâques que la foi dans les promesses du Christ obtenues à travers sa mort et sa résurrection peut également nous libérer des tourments que nous souffrons en nous attardant trop sur nos propres regrets.

En fin de compte, Pâques l'emportera sur les fausses fêtes telles que le «Mois de la Fièreté Gaie» ou le «Jour du souvenir des transgenres». Ces aberrations vont et viennent. Dans un sens, ils nous enseignent que quelque chose doit combler un vide. Même les athées et les militants de la «Fièreté Gaie» peuvent nous montrer par inadvertance qu'il existe un Dieu alors qu'ils tentent désespérément de l'effacer de la place publique, mais en fin de compte, ils adoreront quelque chose et exigeront une conformité absolue au «dieu» qu'ils finissent de toute manière par adorer sans s'en rendre compte.

Les «dieux» de notre époque n'offrent rien de substantiel à long terme. Ils ont tendance à être vides de sens et leur joie est éphémère. Les fardeaux imposés par leurs obligations religieuses deviennent lourds et oppressants. Notez à quel point la «fierté gaie» était initialement censée être libératrice et amusante. Mais maintenant, pour certains fonctionnaires, la participation à des ateliers pro-homosexuels est obligatoire et remettre en question l'efficacité de ce «dieu», ou si le culte de ce «dieu» est réellement nocif, peut vous valoir des poursuites pénales.

C'est la même chose pour la «Journée du souvenir des transgenres». Ce «dieu» est censé offrir la libération à ceux qui seraient nés dans un mauvais corps. Outre le fait que des études longitudinales menées dans des juridictions libérales comme la Suède montrent des taux de suicide et de santé mentale extrêmement élevés chez les travestis postopératoires, ce qui indique que l'utopie pourrait ne pas être atteinte par la mutilation génitale et l'hormonothérapie, nous constatons également les exigences oppressives de conformité à cette religion. Cette religion s'est transformée en une absurdité coercitive dans la mesure où des mâles biologiques intacts peuvent désormais prétendre qu'ils sont «transgenres» et se frayent un chemin dans les espaces réservés aux femmes avec des résultats horribles.

Les femmes dans les prisons et les refuges pour sans-abri ont signalé des agressions physiques et sexuelles de la part de ces soi-disant «femmes trans» et jusqu'à présent, leurs préoccupations désespérément légitimes en matière de sécurité sont subordonnées au credo religieux obligatoire, mais absurde, selon lequel «les femmes trans sont de vraies femmes». Un credo basé sur rien d'autre qu'une idéologie «woke» ou «éveillée», contrairement à la mort et à la résurrection du Christ qui sont documentées dans l'histoire par un historien romain païen renommé,

«À cette époque, il y avait un homme sage appelé Jésus, et sa conduite était bonne, et il était connu pour être vertueux. De nombreuses personnes parmi les Juifs et les autres nations sont devenues ses disciples. Pilate le condamna à être crucifié et à mourir. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples n'ont pas abandonné son statut de disciple. Ils rapportèrent qu'il leur était apparu trois jours après sa crucifixion et qu'il était vivant. En conséquence, il était peut-être le Messie, au sujet duquel les prophètes ont rapporté des prodiges. Et la tribu des chrétiens, ainsi nommée en son honneur, n'a pas disparu jusqu'à ce jour.»
[Flavius Josèphe, Antiquités 18:63, 37-100 après JC.]

Les obligations de croire au Christ vous coûteront tout et en même temps vous libéreront de vos lourds fardeaux.

«Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai. Chargez-vous de mon joug et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez soulagement pour vos âmes. Oui, mon joug est aisé et mon fardeau léger.»
[Matthieu 11:28-30]

Les promesses du Christ ne sont pas éphémères, Sa promesse de péchés pardonnés est éternelle. Vous pouvez être assuré que votre incapacité à vous conformer parfaitement aux exigences d'un Dieu parfait et saint, mort sur la croix pour vous, ne vous séparera pas de l'Amour de Dieu. On sait que les militants LGBT se retournent les uns contre les autres et s'entre-soumettent aux attaques d'annulation lorsqu'ils perçoivent des échecs dans l'adhésion à leurs doctrines «woke» ou «éveillées». L'auteur inspiré saint Paul, par contre, promet à ceux d'entre nous qui pèchent et qui viennent à Dieu brisés et assoiffés de pardon:

«Que dire après cela? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? Lui qui n'a pas épargné son propre Fils mais l'a livré pour nous tous, comment avec lui ne nous accordera-t-il pas toute faveur? Qui se fera l'accusateur de ceux que Dieu a élus? C'est Dieu qui justifie. Qui donc condamnera? Le Christ Jésus, celui qui est mort, que dis-je? ressuscité, qui est à la droite de Dieu, qui intercède pour nous? Qui nous séparera de l'amour du Christ? la tribulation, l'angoisse, la persécution, la faim, la nudité, les périls, le glaive?

Selon le mot de l'Écriture: «À cause de toi, l'on nous met à mort tout le long du jour; nous avons passé pour des brebis d'abattoir.»

Mais en tout cela nous sommes les grands vainqueurs par celui qui nous a aimés. Oui, j'en ai l'assurance, ni mort ni vie, ni anges ni principautés, ni présent ni avenir, ni puissances, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté dans le Christ Jésus notre Seigneur.»
[Romains 8:31-39]

Au Service du Christ,

Bill Whatcott, 31 mars 2024.

Copié du site web de Bill Whatcott.

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