À l'École de Marie >> La Profession de la Foi
Quel est le dessein de Dieu sur l'homme?
Infiniment parfait et bienheureux en Lui-même, Dieu, dans un dessein de pure
Bonté, a librement créé
l'homme pour le rendre participant de sa vie bienheureuse. Lorsque les temps
furent accomplis, Dieu le
Père a envoyé son Fils comme Rédempteur et Sauveur des hommes tombés dans le
péché, pour les appeler
dans son Église et pour leur donner d'être Ses fils adoptifs par l'action de
l'Esprit Saint et les
héritiers de Son Éternité bienheureuse.
[CCÉC, No. 1 │
CÉC, No. 1 @
25]
Pourquoi y a-t-il en l'homme le désir de Dieu?
En créant l'homme à Son image, Dieu Lui-même a inscrit dans son coeur le désir
de Le voir. Même si un
tel désir est ignoré de l'homme, Dieu ne cesse d'attirer l'homme à Lui pour
qu'il vive et trouve en Lui
la plénitude de Vérité et de Bonheur qu'il ne cesse de chercher. Par nature et
par vocation, l'homme
est donc un être religieux, capable d'entrer en communion avec Dieu. Ce lien
intime et vital avec Dieu
confère à l'homme sa dignité fondamentale.
[CCÉC, No. 2 │
CÉC, No. 27 @
30, 44-45]
Pourquoi et comment doit se transmettre la Révélation divine?
Dieu «veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de
la Vérité» [1 Timothée 2,4], c'est-à-dire de Jésus-Christ. C'est
pourquoi, il est nécessaire que le Christ soit annoncé à tous les hommes, selon
son propre commandement : «Allez et enseignez toutes les nations»
[Matthieu 28,19]. Cela se réalise par la Tradition apostolique.
[CCÉC, No. 11 │
CÉC, No. 74]
Comment se réalise la Tradition apostolique?
La Tradition apostolique se réalise de deux manières : par la transmission
vivante de la
Parole de Dieu (appelée plus simplement la Tradition) et par la Sainte
Écriture, qui est la
même annonce du Salut, consignée par écrit.
[CCÉC, No. 13 │
CÉC, No. 76]
Quel rapport existe-t-il entre la Tradition et la Sainte Écriture?
La Tradition et la Sainte Écriture sont reliées et communiquent étroitement
entre elles. En effet,
l'une et l'autre rendent le Mystère du Christ présent et fécond dans l'Église,
et elles jaillissent
d'une Source divine identique. Elles constituent un seul dépôt sacré de la
Foi, où l'Église puise sa
certitude concernant tout ce qui est révélé.
[CCÉC, No. 14 │
CÉC, No.
80-81-82-97]
Après avoir «étudié» la Doctrine Mariale, nous débutons la première partie du Catéchisme qui nous explique ce que nous devons croire, c'est- à-dire le Credo (nous en avons pour quelques leçons...), et nous terminerons en découvrant les Beautés de la Grâce, qui est la Vie de Dieu en nous.
Lorsque nous professons notre Foi, nous commençons par dire : «Je crois » ou «Nous croyons». Avant d'exposer la Foi de l'Église telle qu'elle est confessée dans le Credo, célébrée dans la liturgie (Sacrements), vécue dans la pratique des Commandements et dans la Prière, arrêtons-nous un peu sur ce que signifie le verbe «croire», toujours en l'orientant vers Dieu, qui est notre But. Croire ou l'acte de Foi , est un acte d'intelligence de l'homme qui, sous l'influence de la Volonté de Dieu, donne librement son adhésion à la Vérité divine. La Foi est certaine, car elle est fondée sur la Parole de Dieu; elle est agissante «par la charité» [Galates 5,6] : elle grandit sans cesse grâce en particulier par l'écoute de la Parole de Dieu et par la prière. Dès à présent, elle donne l'avant-goût de la joie du Ciel!
Tout comme la Grâce, la Foi est un don gratuit de Dieu, et elles sont accessibles à ceux qui les demandent avec humilité. Rappelons-nous que la Foi est la Vertu essentielle pour être sauvé.
La Foi est la réponse de l'homme à Dieu et elle lui apporte, en même temps, une lumière formidable pour continuer sa route vers l'éternel Bonheur.
Nous voyons d'abord que nous avons un désir profond de Dieu dans notre coeur; c'est bien simple à comprendre puisque nous avons été créés par Dieu et pour Dieu : Dieu ne cesse de nous attirer vers Lui, et ce n'est qu'en Dieu que nous trouvons la Vérité et le Bonheur que nous ne cessons de chercher.
Par nature et par vocation, l'homme est un être religieux, en ce sens que nous sommes créés pour vivre en amitié avec Dieu. C'est par la lumière naturelle de notre raison que nous pouvons connaître le Bon Dieu.
Même si notre langage humain est très limité, nous pouvons parler de Dieu, et davantage pour nous qui avons reçu les Sacrements, spécialement le Baptême; la vie de la Grâce, etc. Nous qui avons reçu une formation spéciale de par la Foi de nos Parents; Foi qui a été nourrie en participant fidèlement à la vie de l'Église; Foi qui a grandi par notre Consécration à Marie, dans Son Oeuvre d'Amour pour notre Temps. Oui, plus que jamais, nous devons avoir le courage de parler, avec intelligence et charité, de Dieu parce que, sans Dieu, la vie de l'homme n'a aucun sens.
À l'homme qui recherche Dieu dans un désir profond de Le trouver, Dieu vient au devant de lui en se révélant progressivement à lui pour lui manifester son immense Amour, et ce, par l'Écriture Sainte (la Bible) et la Tradition (enseignements de Jésus transmis aux Apôtres).
Pensons que Dieu qui «habite une lumière inaccessible» [1 Timothée 6, 16] veut communiquer sa propre vie divine aux hommes librement créés par Lui, pour en faire, en Jésus, Son Fils unique, des fils adoptifs. Et ce «Plan Divin», qui nous révèle le Mystère, se réalise à la fois par des actions et par des paroles, depuis l'Origine.
Cette «Révélation» n'a pas été interrompue par le péché de nos Premiers Parents. Dieu, après leur chute, leur promit une rédemption, leur rendit courage en les faisant espérer le Salut; sans arrêt, Il montra son immense Amour et sa Tendresse pour l'humanité afin de donner la Vie Éternelle à tous ceux qui, par la constance dans le Bien, cherchent le Salut.
- Rappelons-nous l'alliance avec Noé après le déluge, alors que les hommes étaient très mauvais et qu'ils voulaient faire, par eux-mêmes, leur unité à la manière de Babel. Rappelons-nous que Dieu veut toujours sauver Son peuple du péché qui le menace.
La Bible vénère quelques grandes figures comme Abel, le juste; le roi- prêtre Melchisédech, figure du Christ; les justes tels que : Noé, Daniel et Job [Ezéchiel 14, 14], etc. Ainsi l'Écriture exprime la hauteur de sainteté que peuvent atteindre ceux qui vivent selon l'alliance de Noé dans l'attente que le Christ «rassemble dans l'unité tous les enfants de Dieu dispersés» [Jean 11,52].
- Autre fait : pour rassembler l'humanité dispersée, Dieu élit Abram en l'appelant «hors de son pays, de sa parenté, et de sa maison» [Genèse 12,1] pour faire de lui Abraham, c'est-à-dire «le père d'une multitude de nations» [Genèse 17, 5] : «En toi seront bénies toutes les nations de la terre» [Genèse 12, 3].
Le peuple issu d'Abraham sera le dépositaire de la promesse faite aux patriarches; le peuple de l'élection appelé à préparer le rassemblement - un jour - de tous les enfants de Dieu dans l'unité de l'Église; il sera la racine sur laquelle seront greffés les païens devenus croyants.
- Après les patriarches, Dieu forme Israël comme son peuple en le sauvant de l'esclavage de l'Égypte. Il conclut avec lui l'Alliance du Sinaï et lui donne, par Moïse, sa Loi, pour qu'il Le reconnaisse et Le serve comme le seul Dieu vivant et vrai, Père bienveillant et juste Juge, et qu'il attende le Sauveur promis.
- Par les prophètes, Dieu forme son peuple dans l'espérance du Salut, dans l'attente d'une Alliance nouvelle et éternelle destinée à tous les hommes et qui sera inscrite dans les coeurs [Jérémie 31, 31-34 ; Hébreux 10, 16] . Les prophètes annoncent une rédemption radicale du Peuple de Dieu, la purification de toutes ses infidélités, un salut qui inclura toutes les nations. Ce seront surtout les pauvres et les humbles du Seigneur qui porteront cette espérance. Les femmes saintes comme Sara, Rébecca, Rachel, Myriam, Débora, Anne, Judith et Esther, ont conservé vivante l'espérance du salut d'Israël. La figure la plus pure en est Marie.
- L'ultime étape de la Révélation de Dieu est la Vie et l'Oeuvre de Jésus- Christ, plénitude de la Révélation. «Après avoir, à bien des reprises et de bien des manières, parlé par les prophètes, Dieu en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par son Fils» [Hébreux 1, 1-2]. Jésus, le Fils de Dieu fait homme, est la Parole unique, parfaite et indépassable du Père.
Jésus s'est révélé à nous et Il a fait Alliance avec nous, tout spécialement à la Dernière Cène, et nous rappelons ce Mystère à la Consécration de chacune des Messes à laquelle nous assistons : «...comme Il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, Il (Jésus), les aima jusqu'au bout... Ceci est la coupe de mon Sang, le Sang de l'Alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés. Vous ferez cela, en mémoire de moi.»
Donc, à la Messe, et plus particulièrement au moment de la Consécration où le pain et le vin deviennent le Corps et le Sang de Jésus, nous rappelons le signe de cette Alliance éternelle.
Le Bon Dieu «veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la Vérité» [1 Timothée 2, 4], c'est-à-dire : Jésus-Christ [Jean 14, 6]. Il faut donc que Jésus soit annoncé à tous les Peuples et à tous les hommes et qu'ainsi, la Révélation parvienne jusqu'aux extrémités du monde.
Sous l'action de l'Esprit Saint, c'est donc par le moyen de l'Église, fondée par Jésus-Christ sur Douze Apôtres, que nous est parvenue la Révélation Divine. En effet, les Apôtres nous l'ont transmise de deux façons :
1) oralement : par leur prédication et par leurs exemples, ils ont transmis ce qu'ils avaient appris en vivant avec Jésus et en Le voyant agir, en suivant les inspirations de l'Esprit Saint; cet enseignement qui nous est donné encore aujourd'hui par le Pape, dans l'Église du Christ, s'appelle la Tradition de l'Église : elle nous transmet, intégralement, dans tous les temps, la Parole de Dieu.
2) par écrit : ces Apôtres et des hommes de leur entourage ont écrit, sous la même inspiration du même Esprit Saint, le Message du Salut que nous appelons la Sainte Écriture, et qui est la Parole de Dieu.
C'est au Magistère de l'Église, c'est-à-dire au Pape et aux Évêques, en communion de foi avec Lui, que revient l'interprétation de la Révélation divine; cet enseignement est toujours demeuré intact et vivant, et il s'est poursuivi tout au long des siècles, jusqu'à nos jours. Cette Tradition vivante est l'Oeuvre de l'Eprit Saint. [CÉC, 85] Par elle, l'Église conserve et transmet de génération en génération, sa doctrine, sa foi, sa vie, sa prière et son culte, bref : tout ce qu'Elle est Elle-même, tout ce qu'Elle croit. C'est ce qui explique notre sentiment d'amour et de respect pour l'Église du Christ!
Il existe un lien organique entre notre vie spirituelle et les dogmes : Mystères de Foi (qui sont cependant une «Réalité» pour Dieu), qui nous sont révélés et auxquels nous devons croire, même si nous ne pouvons pas les comprendre avec notre raison, par exemple : la Sainte Trinité; la Présence réelle de Jésus dans l'Eucharistie; l'Immaculée Conception; l'Assomption de Marie; etc. Nous verrons quelques-uns des principaux dogmes dans nos prochaines leçons sur le «Credo» ou le «Je crois en Dieu» ou la «Profession de la Foi». (Nous rencontrons l'une ou l'autre de ces appellations qui sont synonymes.)
Les dogmes sont des lumières sur le chemin de notre Foi, ils l'éclairent et le rendent sûr. De même, si notre vie est droite, notre intelligence et notre coeur seront ouverts pour accueillir la lumière des dogmes de la Foi [Jean 8, 31-32].
Dans l'Écriture Sainte (qui compte 73 Livres : 46 de l'Ancien Testament, et 27 du Nouveau Testament), l'Église trouve sans cesse sa nourriture et sa force, car en Elle, elle accueille la Parole de Dieu. L'Église a toujours vénéré les divines Écritures comme Elle vénère aussi le Corps de Jésus. Elle ne cesse de nous présenter le Pain de Vie pris sur la Table de la Parole de Dieu et du Corps du Christ. Le coeur de toute la Sainte Écriture est le Mystère du Christ préparé dans l'Ancien Testament et réalisé dans le Nouveau.
Dans les Livres Saints, le Père qui est aux Cieux vient avec tendresse au devant de nous qui sommes Ses enfants et Il entre en conversation avec nous. C'est pourquoi l'Église nous recommande de lire fréquemment la Sainte Écriture pour la rendre «aliment de notre âme» et pour apprendre la Science sublime du Christ. La Sainte Écriture doit être lue et interprétée à la Lumière du même Esprit qui la fit écrire; il est donc recommandé de réciter une prière à l'Esprit Saint avant de débuter notre lecture de la Bible.
Par sa Révélation, à cause de l'immense Amour que Dieu nous porte ,Dieu qui est invisible, s'adresse aux hommes comme à des amis, Il nous parle et nous invite tous à entrer en communion avec Lui. La plus belle réponse que nous puissions donner à Dieu, c'est la Foi.
Par la Foi nous soumettons complètement notre intelligence et notre volonté à Dieu.
Les deux plus grands exemples de Foi sont Abraham dans l'Ancien Testament, et la Vierge Marie dans le Nouveau. Et nous, Chrétiens, nous devons croire en un seul Dieu, qui est Père, Fils et Esprit Saint.
Pour croire, nous avons besoin de l'aide de Dieu parce que la Foi est un don surnaturel; mais elle est aussi un acte humain de notre part parce que, pour croire, notre intelligence et notre volonté coopèrent avec la Grâce de Dieu. La prière est, et demeure toujours, le contact pour obtenir cette Grâce.
Et si quelqu'un venait nous demander : «Pourquoi crois-tu? Qu'est-ce que tu crois?» Avons-nous pensé à ce que nous répondrions? Tout d'abord, nous croyons à cause de la Toute-Puissance de Dieu et de son Amour immense pour nous; nous croyons aussi tout ce que Dieu nous a révélé, à tout ce que l'Église croit et enseigne, sachant très bien que la Foi est nécessaire pour notre Salut, parce que Jésus lui-même a dit : «Qui croira sera sauvé, mais qui ne croira pas sera condamné.» [Marc 16, 16]. Saint Thomas d'Aquin, un super théologien, écrivait : «La Foi est un avant-goût de la connaissance qui nous rendra bienheureux dans la vie future.»
Dans notre coeur créé par Dieu et pour Dieu, notre désir profond est de Le connaître davantage et de répondre à Son Amour par la Foi. C'est la Foi qui nous fait goûter comme à l'avance la joie et la lumière que nous aurons lorsque nous verrons le Bon Dieu «Face à face» [1;Corinthiens 13, 12], «tel qu'Il est» [1 Jean 3, 2]. La Foi est donc le commencement de la Vie éternelle!
Pour vivre, croître et persévérer jusqu'à la fin dans la Foi, nous devons nourrir notre vie de Foi par la lecture, l'écoute et la mise en pratique de la Parole de Dieu; nous devons implorer le Seigneur d'augmenter notre Foi [Marc 9, 24 ; Luc 17, 5; 22, 32]; elle doit «agir par la Charité» [Galates 5, 6 ; Jacques 2, 14-26], être portée par l'Espérance [Romains 15, 13] et être enracinée dans la Foi de l'Église. Elle doit aussi être une réponse libre de notre part à Dieu qui se révèle à nous.
Il y aurait encore tant à dire, nous y reviendrons dans une prochaine leçon, car il est Grand le Mystère de notre Foi. Demandons à Marie, Elle qui a conservé et médité toutes ces choses en Son Coeur, de nous rendre participant de Sa vie de Foi un peu plus à chaque jour!
Dès le réveil, notre premier «Bonjour!» revient à Jésus et à Marie! C'est le moment d'offrir notre première prière au Bon Dieu; avec joie, nous Lui offrons notre journée avec toutes nos actions. Nous parlons aussi à notre Ange-Gardien en le remerciant d'avoir veillé sur nous durant la nuit et nous lui demandons sa protection tout au long de la journée. En faisant ainsi, nous partons la journée du bon pied et tout ce que nous accomplissons devient «prière».
Ceux qui n'ont pas cette bonne habitude de faire leur prière du matin et du soir, ou qui trouvent que cette habitude est bien secondaire se privent de bien des mérites; leurs actions, même si elles peuvent être très bonnes, n'ont pas de valeur spirituelle, encore moins apostolique. Par exemple : un p'tit chien est capable, dans une journée, de faire des «finesses» en apportant le journal à son maître; en guidant un aveugle sur le trottoir ou en retrouvant quelqu'un dans la forêt, mais il reste que ces actions ne lui apporteront rien de plus, puisqu'il n'a pas d'âme spirituelle. Ceux donc, qui ne prient pas, ressemblent à ces petits chiens ou autres animaux bien domptés; ils peuvent accomplir de belles actions mais elles sont vides d'énergie et de force spirituelle en dedans...
Quand vient le soir, c'est le moment privilégié de «la prière en famille» où tous s'agenouillent devant un Crucifix ou une Croix, une statue ou une image sainte pour réciter le chapelet. Cette tradition est tellement belle dans notre Province, c'est un des plus beaux trésors que nous ont laissé les Missionnaires qui sont venus nous porter l'Évangile. La prière du soir est une louange de reconnaissance pour tous les dons que Dieu nous a donnés. C'est aussi le moment de l'examen de conscience pour voir ce que fut notre journée dans la Lumière de Dieu, et pour demander pardon du mal que nous avons commis, sachant très bien que Dieu, qui est Miséricorde, nous pardonnera et nous donnera les secours nécessaires pour persévérer dans le Bien.
Avant de dormir, pensons aussi à faire une prière plus personnelle... redisons, dans notre coeur, notre amour à Jésus, à Maman-Marie, à notre Bon Ange-gardien et à nos Saints Patrons... Demandons-leur les Grâces nécessaires pour rester bons; Ils sont si près de nous et peuvent tellement nous aider dans notre désir de faire plaisir au Bon Dieu!
Soyons encore plus généreux à bien faire notre prière du matin et du soir; offrons souvent de petits sacrifices d'amour qui ne sont pas dangereux pour la santé et qui donnent de l'élan à notre vie spirituelle! Rappelons-nous les paroles de notre Bien-aimé Pape Jean-Paul II lorsqu'Il nous disait avec tant de conviction : «N'ayez pas peur!».
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