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Utilisation: Toujours utiliser le filtre-sac jetable (bon pour cendres et plâtre, mais aussi plus propre, et permet de passer à l'aspiration de liquides très rapidement). Il faut acheter une brosse à plancher Sears, car le morceau du Shop-Vac raye les tuiles.
Problèmes: Un peu comme les souliers, il est difficile d'acheter la même boîte à un an d'intervalle. Les fabricants semblent aimer changer de modèle. J'ai acheté les miennes toutes en même temps pour éviter cela (mais même là, deux mois plus tard j'ai voulu en acheter une autre, et le modèle avait déjà changé! Un an plus tard, ce modèle était discontinué complètement). Le modèle actuel a plusieurs défauts: les fermetures qui ne sont pas en métal, et la poignée qui s'enlève si on ne fait pas attention et que la boîte est lourdement chargée. Aussi, je pense qu'il y avait DEUX plateaux dans chaque boîte (totalement inutile!). Les nouveaux modèles ces temps-ci succombent souvent à la mode «petits tiroirs et contenants intégrés à l'extérieur de la boîte», comme des verrues sur le dos d'un crapaud. Il est de loin préférable d'avoir des petites boîtes séparées, qu'on peut mettre (ou non) dans la grosse boîte de son choix. Au moment où on se parle (août 2005) le plus récent modèle de Canadian Tire est presque parfait (coffre à outils en mousse structurée, 40$, fermetures en métal, un seul plateau, poignée apparemment plus solide, mais malheureusement forme générale de la boîte qui gaspille de l'espace à cause des immenses poignées sur le côté).
Utilisation: Mettre les objets petits et fragiles en haut, dans le plateau. Charger chaque boîte entre 9 et 11kg (c'est remarquablement facile d'être précis à plus ou moins 0.5 kg). Les seules exceptions pour l'instant sont Nos. 1 et 2 (1 trop lourde, 2 trop légère).
La numérotation des boîtes: Oui, on peut donner des noms plus descriptifs aux boîtes comme «plomberie» ou «plâtre», mais j'ai fini par simplement les numéroter, car la répartition des outils dans les boîtes est trop complexe. En effet, il faut tenir compte de:
1) la sécurité. C'est ce qui est le plus important, alors ça doit se retrouver dans les premières boîtes, ne serait-ce que par principe («La sécurité avant tout»);
2) la fréquence d'utilisation. Autant que possible, les outils qui servent le plus souvent devraient se retrouver dans les mêmes boîtes, pour qu'on évite de trimballer des boîtes inutiles;
3) les catégories. Comme plomberie, ou plâtre, ou électricité;
4) la répartition du poids. Chaque boîte doit peser entre 9 et 11 kg, donc parfois on met des outils ailleurs, simplement pour équilibrer les boîtes.
En d'autres mots, je ne suis pas capable de trouver de bons noms à mettre sur les boîtes, car les contenus sont trop hétéroclites. On se souvient assez facilement des contenus, et j'ai fini par adopter les simples numéros, après avoir utilisé des noms pendant des années.
Justification: Nécessaire dès qu'on travaille avec un outil électrique (sauf la perceuse à batterie). Les nouveaux bouchons plus petits font que je peux les avoir avec moi plus souvent et facilement.
Erreurs: Bouchons pour oreille Mansfeld en cire rose. Horrible, graisseux, impossibles à mouler pour faire entrer dans le pavillon, ne coupent pas le son, coûtent cher, sont fait comme en sorte de roulé à la cire qui se déglingue très rapidement, etc.
Commentaire: C'est tellement commode, un bon cabrouet! Éventuellement, j'aimerais bricoler un adaptateur pour qu'il s'accroche au vélo, comme les remorques pour bébé. Dans ce cas-là, cet outil sortirait de la liste « bricolage» pour entrer dans la liste « vivre» ou même «camper».
Justification: Le fait d'en avoir un de qualité ordinaire protège mes beaux ciseaux à bois qui servent pour du vrai bois seulement! Attention! Cela ne veut pas dire qu'il n'est pas bien aiguisé!
Justification: Sert surtout pour marquer le placoplâtre avant de couper. Je me sers aussi de cette même craie pour enduire les quatre coins des boîtes électriques, et ensuite apposer le panneau de placoplâtre, afin de savoir où faire les trous pour laisser passer les boîtes.
Justification: J'aime le fait de pouvoir changer très vite de pointes, surtout quand je perce des avant-trous pour visser des vis.
Problèmes: Les mèches à culot hexagonale sont ces temps-ci souvent de très mauvaise qualité. Le culot hexagonal est parfois si mal usiné qu'on ne peut pas le «barrer» en place. Il faut prendre celles qui ont un culot parfaitement hexagonal, sans petits canaux longitudinaux.
Erreurs: En 2004, Canadian Tire vendait une trousse de mèches hexagonales, avec adaptateur pour la perceuse. La pire cochonnerie que j'ai jamais eu. L'adaptateur avait même un défaut de conception (pas de fabrication) qui le rendait intrinsèquement inutilisable. Les mèches elles-mêmes étaient tellement mal usinées qu'elles sortaient toutes seules de l'adaptateur (même le bon adaptateur de Jore).
Justification: Magnifique! Meilleur que l'étau léger fait en France qui coûte 3 fois plus cher. De loin le plus léger et portatif. Il ne fait pas tout, loin de là, mais pour le coût et l'encombrement, il permet de faire beaucoup de choses.
Justification: Magnifiques! On peut les amener n'importe où, et bien éclairer n'importe quel lieu de travail.
Justification: Un bricoleur travaille très souvent à genoux, alors c'est nécessaire.
Utilisation: En fixant la règle avec des petites vis, on peut découper n'importe quelle longueur de contre-plaqué avec une précision surprenante (j'ai déjà fait un comptoir de cuisine au complet, tiroirs inclus, de cette manière). Pour le placoplâtre, c'est encore plus facile. 1,22 m est vastement suffisant, et on n'a pas besoin de règle en «T» (qui prend de la place pour rien).
Entretien: Avec la lime à métal et l'étau, on peut ré-aiguiser les lames du grattoir régulièrement. Ceci améliore considérablement la qualité de vie!
Justification: Encore une fois, j'ai acheté le plus cher, et j'ai été royalement récompensé. Celui-ci fonctionne si bien! On donne un petit élan, et la manette tourne toute seule tellement c'est bien fabriqué!
Justification: Ne sert pas assez souvent et est trop lourd pour être dans la boîte #1, mais j'en ai quand même assez souvent besoin, surtout pour plier du métal avec l'autre pince-étau.
Justification: Sert à presque tout sauf à tourner des vis (comme ouvrir les pots de peinture et mélanger leur contenu, gratter la glace qui empêche la porte de bien se fermer en hiver, etc.).
Justification (lunettes): Chez Hypertherm, dès qu'on mettait le pied hors des bureaux et dans la section manufacturière, il FALLAIT porter ses verres de sécurité, même si on ne «faisait que passer par là». Très bonne habitude à prendre. Les verres de sécurité sont l'outil le plus important, car nos yeux sont le morceau à la fois le plus fragile et le plus important de notre corps.
Justification (élastique): Je me suis déjà envoyé un morceau de fonte dans l'oeil la veille du 27 juin, 2003. J'ai dû aller au CHUL, le gars à pris une mini-perceuse pour enlever ça, onguent antibiotique, et j'ai été chanceux car cela aurait pu être dans la pupille... Sans l'élastique, les verres étaient trop loin du visage quand je me penchais, alors l'éclat est passé dessous...
Justification: Sert pour balayer, laver les planchers et les murs sans se pencher, peindre au rouleau, mais aussi comme «poteau à baladeuse», etc. Pouvoir appliquer la force des deux bras est très commode, surtout pour laver les murs et les plafonds, mais aussi pour la peinture au rouleau. Je le répète, cet outil ne sert pas d'abord et avant tout à rejoindre des endroits inaccessibles, mais à permettre d'appliquer la force de deux bras plutôt qu'un, et à pouvoir tout faire debout, sans se pencher ou s'étirer.
Manche en acier: Important d'être un Estwing tout en acier (même si c'est l'outil le plus lourd de la boîte), car je m'en sers comme pied-de-biche, et j'ai brisé 2 manches en bois déjà. Bien sûr, si je peux trouver plus léger qui soit aussi solide, tant mieux!
Justification: Petite merveille! Dire qu'avant j'avais un établi de plusieurs milliers de dollars («Continental Cabinetmaker's Workbench»), en érable massif sans noeuds, avec des parties en noyer et en bois de teck, qui pesait plusieurs centaines de livres! Mon mini-établi n'est pas parfait, mais il me permet de faire énormément de travaux. Les «Shop-Mate», etc., disponibles au magasin sont trop lourds, trop chers, et n'ont pas un «dessus» facilement remplaçable. Je me rends compte que c'est commode de scier, percer des trous, et «gosser» en général sans trop se soucier du dommage qu'on fait à son établi.
Sélection: Acheter le plus long qui entre dans la boîte à outils (quitte à couper un peu les bouts, ce qui se fait très bien si le niveau est en aluminium).
Justification: La perceuse sans fil est bien commode pour visser des petites
vis, mais il faut quelque chose pour visser des grosses vis, percer des
gros trous dans les planchers et les murs (pour la plomberie et l'électricité)
et faire des petits trous dans la brique et le béton. Seule une bonne
perceuse avec fil d'un demi pouce peut faire ce genre de travaux.
Erreurs: Avant, j'avais une perceuse avec fil plus petite, mais elle
était trop faible (trop comme ma perceuse sans fil). Tant qu'à avoir
deux perceuses, aussi bien qu'elles «couvrent un terrain» différent.
Justification: Les perceuses sans fil modernes sont meilleures que ma vieille: vitesse variable, poignée plus facile à tenir, meilleure force de couple, frein automatique, etc. Vraiment, veut, veut pas, je m'en sers continuellement, surtout que je refuse de planter des clous.
Justification: Ils finissent toujours par être utiles, ne serait-ce que pour remplacer l'aspirateur quand il manque d'électricité, ou pour enlever le pire avant d'arriver avec ce même aspirateur.
Justification: Ne serait-ce que pour dévisser la lame de la scie circulaire, et la pointe de la toupie, elle est utile. Aussi, comme j'ai fini par me débarrasser de tous mes outils de mécanique (parce que je ne m'en servais pas assez souvent), il faut que j'aie quelques outils pour les écrous.
Justification: Magnifique! Très utile! Pour enlever les moulures, les fenêtres, n'importe quoi de délicat.
Justification: Très commodes, car se bloquent (comme une pince-étau) et sont toutes petites. On finit toujours par avoir un machin pris au fin fond d'une bidule très étroite et difficile d'accès. Exemple: les sous noirs pris à l'intérieur des touts petits trous de ventilation à l'intérieur du congélateur, les débris de douille de bois au fond d'un trou dans la brique, etc.
Erreurs: Pince à courroie de caoutchouc, vendue chez Canadian Tire. Je me disais que c'était plus léger qu'une grosse paire de pinces en métal, et que ça n'endommagerait pas les écrous de nylon qu'on retrouve souvent en plomberie. Sauf que ça ne donne pas assez de force de couple, alors c'est inutile pour moi.
Justification: Ah! le ruban à tout faire! (voir aussi le WD-40) On peut tout réparer avec le ruban à tout faire (enfin, presque!). Si on trouve du blanc, on peut aussi se servir s'en servir pour faire des étiquettes. Exemples: quand on rampe dans la cave et qu'on découvre où va un fil électrique, ou un tuyau, on peut l'identifier; ou si quelque chose est brisé, ou dangereux, etc.
Justification: Alléluia! Je n'étais pas sûr de cet achat au début, mais que c'est commode! Ils servent «d'apprenti» qui me tient des affaires. Bref, une troisième main. Pour tenir des objets sur mon mini-établi, tenir la règle pendant que je coupe avec la scie circulaire, tenir des poutres pendant que je perce des trous pour les boulonner, et presque jamais tenir des morceaux pour les coller! De plus ce modèle-ci est très confortable, solide, rapide, etc.
Erreurs: Les «Quick-Grip», je pense de «Vise-Grip». Petits et légers, mais quasi-inutilisables, car quand on débloque, la détente métallique aux coins aiguisés vient frapper le doigt. OUILLE! Quel gaspillage...
Justification: Je ne me servirai plus jamais d'une vadrouille ordinaire. Avec ce système, on «déchire» la partie en coton, on la trempe dans l'eau, on l'essore et on la recolle. Et quand elle s'use, on la remplace.
Justification: Après avoir fait beaucoup de plomberie, je trouve que le coût exorbitant est amplement justifié. Gâchette, allumage piézo-électrique, fonctionne au propane et au MAPP; quelle merveille!
Entretien: Entreposer dans un sac en plastique, pour éviter que les petits orifices de gaz se bloquent.
Justification: Rien qu'en économie de piles elle vaut la peine. Elle est si légère que je finis par la porter tout le temps.
Justification: Bonne Sainte Bénite! Il y a tellement de tournevis sur le marché, et tellement de mauvais tournevis! Je vais essayer de décrire en quelques phrases les années de gaffes et les multiples mauvais achats que j'ai fait:
1) Au départ, malheureusement l'univers n'est pas standardisé sur les vis Robertson (les meilleures). Donc on a besoin au minimum de 4 tournevis Robertson, deux ou trois tournevis plats, et trois tournevis Philips. Si on fait du travail moindrement spécialisé, il peut s'en rajouter encore plus (Torx, etc.).
2) Si les pointes ne sont pas amovibles, on se ramasse avec un fourmillement de tournevis, ce qui est inutilement gros et lourd.
3) Si les pointes sont amovibles, on élimine 8 manches de tournevis minimum (ce qui est bien), mais si ces pointes ne sont pas compatibles avec les pointes de la perceuse, on doit avoir une série pour le tournevis, et une autre série pour la perceuse.
4) Certains tournevis multipointes n'ont rien pour «barrer» la pointe, alors elle sort toute seule (et tombe dans un endroit inaccessible).
5) Le meilleur jusqu'à maintenant est le Sears (Jore) Speed-Lok.
Problèmes: Le Jore Speed-Lok aux dernières nouvelles n'était disponible que chez Sears, et le manche a une poignée stupide, plutôt qu'un contenant pour entreposer les pointes.
Par commodité, je place ici pour l'instant quelques conseils de mon frangin pour le plâtre:
1) Le vaporisateur de plantes. Ajout essentiel pour les joints de gypse: Un vaporisateur de plantes. Humecter la boue à mesure qu'elle se déshydrate, ou encore vaporiser très légèrement le joint dès qu'il "colle" à la truelle, pour éviter les finis rugeux. Mes finis sont impeccables depuis que je porte attention à mon composé, et le garde légèrement luisant pendant que je travaille.
2) Grosseurs de truelles. Utiliser trois truelles de largeur différentes pour les joints. 6" pour le ruban, 8" pour la deuxième couche, et la grosse de 12" seulement pour la dernière. Ne pas utiliser tout de suite la grosse large. Même chose pour les coins. Magasine, et trouve toi deux truelles de coin. Une petite, et une plus grosse.
3) Pré-sablage des joints. Lorsque les joints sont encore humides, les "sabler" avec un bout de matelas en mousse jaune (vendu comme matelas pour campeurs à la MEC) taillé et humecté en éponge. (Les bulles de la mousse sont fines, et offrent la possibilité de faire un beau fini). Pour retouches seulement, le gros des imperfections sont corrigées à la truelle, et en utilisant une lampe halogène à 10 degrés du mur, pour projeter les imperfections. (Ne JAMAIS tirer des joints avec une ampoule de 100 watts) Tirer les joints avec la philosophie suivante: Pay me now, or pay me later. Ce que tu ne corriges pas à la truelle, tu le sableras plus tard. PrOjeTTe un MaXImuM d'OmbRE pour vOIr les IMperfEctiOns.
Justification: Absolument essentiel pour assurer ma sécurité. Surtout le nouveau modèle qui me permet de simplement m'approcher un fil sans le dénuder. L'ancien modèle (oreilles de lapin) est ridiculement inutile à côté de ça.
Erreurs: Il y a plusieurs «mini-scies à métaux» sur le marché, qui sont très petites et légères, et qui acceptent autant les lames de scie à métal ordinaire, que les lames de scie alternative. Cela me semblait une bonne idée, pour me dépanner (petit, léger, pas cher, lames de rechanges disponibles facilement). Sauf qu'une lame de scie à métal, par définition, est faite pour être en grande tension entre deux extrémités d'un cadre solide (pour que le "saw kerf", le trait de scie, soit le moins large possible, afin de dépenser le moins d'énergie possible pour faire la coupe). En d'autres mots, pas besoin de creuser un chemin pour faire passer tout le métal qui est sorti de la lame pour migrer vers le cadre. Donc une telle lame, non-soutenue par un cadre, fonctionne à peine (pas possible de mettre de la pression dessus pour couper). Ensuite, les lames de scie alternative sont elles conçues pour ne pas avoir besoin de cadre pour les soutenir; elles sont épaisses et solides. Mais les dents sont conçues pour résister aux chocs nombreux et obstacles fréquents (surtout les clous). Donc les angles sont moins prononcés, le métal moins cassant (donc qui tient moins bien son aiguisage), les dents plus courtes, etc. Donc à basse vitesse, avec peu de pression, cela ne coupe presque pas. À l'inverse, une super-lame de scie japonaise à contre-plaqué, mise dans une scie alternative, couperait super-bien pour quelques fractions de secondes, avant de s'édenter complètement!
Conclusion: Hum, j'ai l'impression que deux grosses scies ("hacksaw" et "Japanese plywood saw") qui coupent valent mieux qu'une petite scie qui ne scie pas.
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