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(Jan Vermeer van Delft. La femme à la balance.
Source)
Parfois, je me trompe parce que le péché obscurcit mon intelligence (voir Nul n'est aussi aveugle que celui qui ne veut pas voir). Parfois, je me trompe parce que je fonde mes bons raisonnements sur des mauvaises sources d'information (voir Au secours! Mes sources d'information me tiennent prisonnier!). Parfois, je me trompe, mais je savais d'avance que je pouvais me tromper, car je savais que ma position était fondée sur des arguments seulement probables, que ma position était une simple opinion (voir Section 3.2 de 100% des religions sont fausses (à ± 1%)).
Dans cet article, je vais parler des fois où je ne me trompe pas vraiment, même si je ne dis pas toute la vérité.
La vie de l'homme est brève, et la recherche de la vérité est longue et ardue. Ainsi, il est tout-à-fait normal qu'avant d'arriver à la vérité complète, on ait trouvé seulement une partie de la vérité.
Est-ce mauvais d'affirmer seulement une partie de la vérité? En d'autres mots, d'avoir une position «déséquilibrée»? Selon moi, non, à condition de clairement dire que notre position est déséquilibrée! La connaissance partielle n'est pas mauvaise en soi. Ce qui est mauvais, c'est la connaissance partielle qui ne se rend pas compte (ou qui ne veut pas voir) qu'elle n'est que partielle.
D'une certaine manière, la science est solidement établie sur ce «déséquilibre équilibré», en d'autres mots sur l'humble affirmation des faits dépouillés, lorsqu'on les connaît, et sur l'humble admission de notre ignorance, quand on ne sait pas [Jn 9:25].
SVP priez pour que le Saint-Esprit m'éclaire, afin que je place sur mon site web des hyperliens vers cet article, partout où je me rendrai compte que je ne présente qu'une partie de la réalité!
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