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Mme Marie-Renée Grondin.
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1) S. Jetchick (2017-sept-07)
2) M.-R. Grondin (2017-sept-08)
3) S. Jetchick (2017-sept-08)
4) M.-R. Grondin (2017-sept-08)
5) S. Jetchick (2017-sept-09)
6) M.-R. Grondin (2017-sept-09)
7) S. Jetchick (2017-sept-14)
-------- Forwarded Message -------- Subject: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Thu, 7 Sep 2017 23:27:30 -0400 From: Stefan Jetchick To: marie-renee.grondin rajouter l'arobas quebecormedia.com Bonsoir Mme Grondin, Georges Buscemi m'a envoyé l'hyperlien vers votre article intitulé: Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X Source Comme Georges est un bon ami à moi (en plus d'être mon patron, car c'est lui le Président de Campagne Québec-Vie), je trouvais un peu bizarre votre réaction (et celle des deux «journalistes» de CHOI Radio X). Accuser les propos de qui que ce soit d'être «complètement débiles», c'est facile. Ce qui est plus difficile, c'est de faire un travail sérieux de journalisme, et de «creuser» un peu le dossier. Prenez par exemple la circulaire suivante: «Aimons les sodomites, haïssons la sodomie!» www.jesus-eucharistie.org/gai Cette circulaire a été envoyée pour approbation à la Ministre de la Justice du Québec, au Maire de Québec, à la Ministre de la Justice du Canada, et à M. Joël Lightbound, député fédéral de Louis-Hébert. Aucune de ces personnes n'a dit que cette circulaire était «complètement débile». Aucune ne s'est objecté à la distribution de cette circulaire. J'en ai déjà distribué plus de 1500 copies un peu partout dans la Ville de Québec, roulé avec 4 autres circulaires: www.jesus-eucharistie.org/amour J'aimerais bien savoir ce que vous en pensez, ainsi que les deux «journalistes» de CHOI Radio X, Richard Martineau et Jonathan Trudeau! Au plaisir, Stefan Jetchick [Information de contact habituelle] Version web de ce courriel: www.jesus-eucharistie.org/corr/grondin_marie_renee.htm
-------- Forwarded Message -------- Subject: Re: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Fri, 8 Sep 2017 10:58:39 +0000 From: Marie-Renee Grondin To: Stefan Jetchick Bonjour M. Jetchick, Vous remarquerez l'emploi de guillemets dans mon texte. Ils sont là puisque je ne fais que rapporter les propos de M. Buscemi et ceux des animateurs. Ce n'est pas ma propre pensée! Bien à vous!
-------- Forwarded Message -------- Subject: Re: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Fri, 8 Sep 2017 10:21:00 -0400 From: Stefan Jetchick To: Marie-Renee Grondin Rebonjour Mme Grondin, >> je ne fais que rapporter les propos >> de M. Buscemi et ceux des animateurs. Ah! OK! Je m'excuse! Je pensais que vous étiez journaliste au Journal de Québec, mais j'apprends maintenant que vous êtes seulement une secrétaire... >> Ce n'est pas ma propre pensée! C'est pourtant votre propre signature sur l'article... Mais j'avoue que vous êtes une femme, et que Messieurs Martineau, Trudeau et Buscemi sont des gars, alors j'imagine que votre employeur leur permet de communiquer leurs propres pensées, eux! ;-) Sérieusement, si jamais vous voulez faire un vrai travail de journaliste sur ce dossier, il me fera plaisir de vous publier ici sur mon site web. Je suis sûr que votre grand-père à Saint-Frédéric-de-Beauce serait fier de sa petite-fille! Dieu sait que notre pays a un urgent besoin de vrais journalistes courageux et compétents! (Je passe souvent devant «Grondair», en me disant: «Snif, j'aurais donc voulu être pilote!») Au plaisir, SJJ
-------- Forwarded Message -------- Subject: RE: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Fri, 8 Sep 2017 15:26:51 +0000 From: Marie-Renee Grondin To: Stefan Jetchick Rebonjour M. Jetchick, Premièrement, les journalistes n'expriment pas leurs opinions. Ils ont objectifs et neutres. Leur travail est de rapporter les faits. Dans le cas qui nous occupe, c'est ce que j'ai fait avec messieurs Buscemi, Martineau et Trudeau. Deuxièmement, les sexes n'ont rien à voir avec ce qui est permis ou non de faire comme travail au Journal. D'ailleurs, nuance très importante, messieurs Martineau et Trudeau ne sont pas des journalistes. Ils sont des chroniqueurs. Les chroniqueurs sont payés pour donner leur opinion. Même chose pour leur fonctions d'animateur à la radio d'opinion. Pour votre information, mon grand-père est décédé et Grondair n'appartient plus à ma famille. Bien essayé. Dommage que vous ayez autant de regret et, vraisemblablement, beaucoup de malices, en tant que croyant, pour tenter d'intimider «une secrétaire». La vie est si courte. Aimez vous les uns les autres, hein! Bonne journée! Marie-Renée Grondin Productrice de contenus numériques Groupe Média Québecor 581-309-5243
-------- Forwarded Message -------- Subject: Re: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Sat, 9 Sep 2017 08:01:25 -0400 From: Stefan Jetchick To: Marie-Renee Grondin >> Premièrement, les journalistes n'expriment pas leurs opinions. J'arrive! J'arrive! Désolé de ma lenteur à répondre. SJJ
-------- Forwarded Message -------- Subject: Re: Votre article: "Un intervenant tient des propos sur l'homosexualité qualifiés de «complètement débiles» à CHOI Radio X" Date: Sat, 9 Sep 2017 12:20:49 +0000 From: Marie-Renee Grondin To: Stefan Jetchick Je n'attends pas de réponse. Ce n'est pas la peine d'en rajouter. Le temps est trop précieux. Bon week-end. Obtenez Outlook pour iOS
-------- Forwarded Message -------- Subject: Correspondance avec Mme Marie-Renée Grondin Date: Thu, 14 Sep 2017 20:49:56 -0400 From: Stefan Jetchick To: marie-renee.grondin@ Bonjour Mme Grondin, >> Je n'attends pas de réponse. >> Ce n'est pas la peine d'en rajouter. OK, je ne vous force pas à lire ma réponse. Par contre, votre réaction est assez typique des journalistes gauchistes. Je vais donc utiliser votre exemple pour tenter de montrer aux visiteurs de ce site les maladies du journalisme québécois, et comment les guérir. >> Premièrement, les journalistes n'expriment pas leurs opinions. >> Ils sont objectifs et neutres. Magnifique! Vous êtes vraiment un beau cas! Remarquez la dérive entre le «devoir-être» et «l'être». Un journaliste DOIT être objectif et neutre (autant que faire se peut). Mais ce n'est pas parce qu'on est journaliste, qu'on est un BON journaliste! Votre énoncé est donc factuellement faux. Ce qui est encore plus hilarant est que vous n'avez aucune difficulté à distinguer entre le «devoir-être» et «l'être», mais pour les chrétiens! En effet, vous n'avez aucune difficulté à voir que ce n'est pas parce qu'on se prétend chrétien, qu'on est nécessairement charitable et vertueux! En toute fin de votre courriel, vous dites en effet: >> Dommage que vous ayez [...] vraisemblablement >> beaucoup de malice, en tant que croyant [...] >> Aimez vous les uns les autres, hein! En d'autres mots, vous voyez bien que «L'habit ne fait pas le moine», et que les chrétiens peuvent aller en Enfer comme n'importe qui d'autre, s'ils manquent de charité. Mais quand le temps vient de parler de journalistes, alors là, dès qu'on est journaliste selon vous, on est automatiquement un **bon** journaliste! Combien de fois ai-je entendu ce genre de choses dans la bouche de journalistes de Radio-Canada! Ce genre de lapsus est typique des journalistes gauchistes. >> Dans le cas qui nous occupe, c'est ce que j'ai >> fait avec messieurs Buscemi, Martineau et Trudeau. Ah oui, vraiment? Commençons avec les toutes premières secondes de l'entrevue. Imaginez cette situation: un journaliste rencontre une femme qui vient de partir un groupe de lutte contre le harcèlement sexuel à l'université. La première question que le journaliste pose est: «Mais vous madame, je ne peut pas m'empêcher de penser quand je recontre des gens comme vous, est-ce que vous avez une envie secrète de vous faire violer?» Est-ce que vous auriez omis de mentionner ça dans votre résumé de l'entrevue? Sûrement pas! Vous auriez peut-être même qualifié cette question de «débile». Écoutez la toute première question de Martineau et Trudeau. Ils demandent à Georges, en insinuant qu'il est menteur et malhonnête, si Georges est un sodomite. N'est-ce pas illégal au Canada de faire de la discrimination basée sur «l'orientation sexuelle»? Deuxièmement, qu'est-ce que cela peut faire? Le sujet du débat est le service offert aux gens qui veulent se libérer de leurs attirances envers le même sexe. Qu'on ait ou qu'on n'ait pas soi-même de telles attirances ne change strictement rien. Moi, par exemple, je n'ai jamais été saoûl de ma vie, et pourtant je travaille régulièrement pour les Alcooliques Anonymes. Que je sois alcoolique ou pas n'a aucun rapport: j'encourage ce service parce qu'il est bon. Avez-vous mentionné ça dans votre article? Bien sûr que non, parce que cela aurait fait mal paraître Martineau et Trudeau, et que votre patron vous aurait peut-être puni... Ceci nous amène à la deuxième maladie typique de journalistes comme vous: vous ne faites pas la distinction entre le mensonge matériel, et le mensonge formel. J'explique: Un petit enfant fait un collage à la maternelle, avec des macaronis secs, du carton rouge et du coton ouaté. Il dispose les macaronis et le coton sur son carton rouge, et il obtient une tête de Père Noël. Matériellement, il n'y a pas de Père Noël, juste des pâtes pas cuites, de la ouate, etc. Mais formellement, c'est le Père Noël, et tous les autres enfants à la maternelle vont le reconnaître! C'est la même chose avec la manoeuvre typique des mauvais journalistes: ils citent les propos de quelqu'un, et prétendent donc qu'ils disent la vérité. Sauf qu'ils censurent créativement, omettant de dire tout ce qui va contre leur narratif, et insistant sur ce qui le construit. Un peu comme l'enfant avec ses macaronis et sa ouate, ils peuvent faire dire à peu près n'importe quoi à n'importe qui. J'ai expliqué ça dans mon article sur la SRC. En passant, puisque nous discutons de bon et de mauvais journalisme, remarquez ma méthode ici dans notre correspondance. Vous pouvez écrire tout ce que vous voulez, je l'affiche sur mon site web avec mes réponses, vous pouvez prendre votre temps pour me répondre, demander conseil à d'autres avant de m'envoyer votre réponse, rajouter des hyperliens vers des documents pour étayer votre position, etc. Ce n'est pas comme si vous êtes au téléphone, sous pression, en direct, avec deux personnes qui vous bombardent de questions-pièges, et vous devez réagir à chaud, sans vous tromper! Bref, ma technique journalistique est de loin supérieure à celle de Martineau et Trudeau, sauf que si vous l'admettiez publiquement, peut-être que votre patron vous punirait... >> Deuxièmement, les sexes n'ont rien à voir avec ce qui est >> permis ou non de faire comme travail Bien sûr! Je vous taquinais! Je pensais que c'était assez évident. Désolé si je me suis mal fait comprendre. >> nuance très importante, messieurs Martineau et Trudeau ne sont >> pas des journalistes. Ils sont des chroniqueurs. Les >> chroniqueurs sont payés pour donner leur opinion. Avec des raisonnements comme ça, vous non plus vous ne seriez pas journaliste. Votre titre de poste est «Productrice de contenus numériques», pas «journaliste»! ;-) Franchement, qu'on les nomme «animateur», ou «chroniqueur», ou «correspondant», ou «envoyé spécial», ce sont des journalistes. Eux comme vous avez un code de déontologie à respecter. Eux comme vous devez éviter de mentir à la population. Eux comme vous avez des responsabilités sociales graves. Pour guérir une «Radio-poubelle», il ne suffit pas de changer les plaques sur les portes des employés, pour enlever le mot «Journaliste» et le remplacer par «Chroniqueur». Et même si, par absurde, nous supposons que eux ne font pas un travail de journalisme, qu'ils ne sont ni neutres ni factuels, alors comment pourriez-vous être neutre et factuelle, si votre seule matière première est une matière première qui n'est pas journalistique? Un puit contaminé va donner de l'eau contaminée, même si on pompe cette eau avec un tuyau parfaitement propre... Un autre manière de dire la même chose est que nul n'a le droit de se «Ponce Pilater» les mains. À partir du moment où vous êtes une personne humaine, vous êtes moralement responsable de vos actions. Vous ne pouvez pas faire comme les Nazis à Nuremberg et tenter de vous disculper en prétextant que: «Je ne faisais qu'obéir aux ordres», ou «Je ne faisais que répéter ce que quelqu'un d'autre a dit». >> Pour votre information, mon grand-père est décédé Et alors? Son âme spirituelle existe encore! Et il prie probablement pour vous en ce moment! (Je suis un «fondamentaliste» chrétien, après tout! Il faut bien que je sois cohérent avec moi-même! ;-) >> Grondair >> n'appartient plus à ma famille. Cela n'infirme pas mon argument: nous avons besoin de pionniers au Québec aujourd'hui, et vous avez des pionniers dans votre famille. Le Québec a un urgent besoin de journalistes compétents et courageux, qui osent affronter la propagande gauchiste omniprésente. >> tenter >> d'intimider «une secrétaire». «Intimider une secrétaire»? Je dirais plutôt: «éperonner une journaliste», pour l'encourager à dépasser la médiocrité trop répandue dans sa profession de nos jours! Pour résumer mon long courriel: 1) L'habit ne fait pas le moine. Le titre de «journaliste» vous donne automatiquement seulement de lourdes responsabilités, pas la compétence et l'honnêteté. 2) La censure créative est une forme de mensonge. On peut faire un «collage» matériellement fidèle, mais formellement mensonger, des propos d'autrui. 3) Nul n'a le droit de se «Ponce Pilater» les mains. Dès qu'un journaliste ouvre sa bouche ou touche une feuille avec son stylo, il devient moralement responsable de ce qu'il transmet. Bien à vous, SJJ
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