Adorons Jésus-Eucharistie! | Accueil >> Varia >> Livres >> Table des matières
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°400) Catéchisme chrétien, p. 69-74, éd. 1953.
°401) Signalons spécialement la méthode de S. François de Sales, Vie dévote, IIe Part., ch. II-VII; celle des Carmes déchaussés, Instruction des novices du V. P. J. de Jésus-Marie, IIIe Part., ch. II; celle de Cisterciens réformés, Directoire spirituel de Dom Lehodey, 1910, sect. V, ch. IV; celle des Dominicains, Instruction des novices du P. Cormier.
°402) Études, 20 mars 1898, p. 782, note 2.
°403) S. THOM., III, q. 85; SUAREZ, De paenitentia, disp. I et VII; BILLUART, De Paenit., disp. II; AD. TANQUEREY, Synopsis Theol. mor., t. I, n. 3-14; BOSSUET, Sermon sur la nécessité de la pénitence, édition Lebarcq, 1897, t. IV, 596, t. V. 419 BOURDALOUE, Carême, pour le Lundi de la deuxième semaine; NEWMAN, John Henry, Discourses to Mixed Congregations, Neglect of Divine Calls and Warnings; FABER, Le progrès, ch. XIX.
°404) S. THOM, Ia-IIae, q. 71-73; q. 85-89; SUAREZ, De peccatis, disp. I-III; disp. VII-VIII; PHILIP. A S. TRINITATE, Sum. theol. mysticae, Ia P., tr. II, discursus I; ANTON. A SPIRITU S., Directorium mysticum, disp. I, sect. III; TH. DE VALLGORNERA, Mystica theol., q. II, disp. I, art. III-IV; ALVAREZ DE PAZ, T. II, P. I, De abjectione peccatorum; BOURDALOUE, Carême, mercredi de la 5e sem., sur l'état du péché et l'état de grâce; TRONSON, Ex. particuliers, CLXX-CLXXX; MANNING, Sin and its consequences, trad. Maillet., Le péché et ses conséquences; MGR D'HULST, Carême 1892; Retraite; P. JANVIER, Carême 1907, 1re Conf.; Carême 1908 en entier.
°405) Nous développons ces motifs un peu longuement, pour que les lecteurs puissent les méditer; quand une fois on a conçu une vive horreur pour le péché, le progrès est assuré.
°406) S. IGNACE, Exerc. spirit., 1re Sem., 1er Excercice; et ses nombreux commentateurs.
°407) C'est la pensée que développe S. IGNACE dans sa Méditation fondamentale, en tête des Exercices spirituels, en commentant ces paroles: «Creatus est homo ad hunc finem ut Dominum Deum suum laudet ac revereatur, eique serviens tandem salvus fiat».
°409) Catéch. Chrétien, Ire Part., leç. II.
°411) Vie dévote, l. I, ch. XXII.
°412) S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. IX.
°413) Chemin de la perfection, ch. XLI, p. 296-297.
°414) La doctrine spirituelle, IIIe principe, ch. II, a. I, § 3.
°415) Nous ne parlons pas des châtiments temporels par lesquels Dieu punit le péché: la Sainte Écriture y revient souvent, surtout l'Ancien Testament. Mais quand il s'agit de déterminer si telle ou telle peine est le châtiment du péché véniel, on est souvent réduit à des conjectures. Il ne faut donc pas insister sur ce point, comme le font certains auteurs spirituels qui attribuent à des fautes vénielles des châtiments terribles; ainsi la femme de Loth est changée en une statue de sel pour une faute de curiosité, Oza est frappé de mort pour avoir touché l'arche.
°416) «Si elle pouvait découvrir un autre purgatoire plus terrible que celui dans lequel elle se trouve, elle s'y précipiterait vivement, poussée par l'impétuosité de l'amour qui existe entre Dieu et elle, et afin de se délivrer plus vite de tout ce qui la sépare du Souverain Bien.» [STE CATHERINE DE GÊNES, Purgatoire, ch. IX.]
°417) Op. cit., ch. VIII.
°418) Op. cit., ch. XII. -- Tout ce petit traité du Purgatoire est à lire.
°419) Premier panégyrique de S. Fr. de Paule, éd. Lebarq, t. II, p. 24-25.
°420) BOSSUET, 1er Sermon pour la Purification, éd. Lebarq, t. IV, p. 52.
°421) Introduction, ch. VII.
°422) Op. cit., ch. VII, IIe section.
°423) C'est bien ce que nous enseigne le Concile de Trente (sess. XIV, cap. 8): «Procul dubio enim magnopere a peccato revocant, et quasi freno quodam coercent hae satisfactoriae poenae, cautioresque et vigilantiores in futurum paenitentes efficiunt: medentur quoque peccatorum reliquiis, et vitiosos habitus, male vivendo comparatos, contrariis virtutum actionibus tollunt.»
°424) P. PLUS, L'Idée réparatrice, livre III; L. CAPELLE, Les Âmes généreuses.
°425) C'est ce qu'il démontre longuement dans le Progrès de l'âme, ch. XIX, et il ajoute: «De même que tout culte tombe en ruine, s'il n'a pour base les sentiments d'une créature pour son créateur... de même que les pénitences n'aboutissent à rien, si elles ne sont faites en union avec Jésus Christ... ainsi la sainteté a perdu le principe de sa croissance, quand elle est séparée d'un regret constant d'avoir péché. En effet le principe du progrès n'est pas seulement l'amour, mais l'amour né du pardon».
°426) «Sed etiam (quod maximum amoris argumentum est) temporalibus flagellis a Deo inflictis et a nobis patientes toleratis apud Deum Patrem per Christum Jesum satisfacere valeamus.» [Sess. XIV, cap. 9, DENZING., 906.]
°428) S. THOMAS, dont les principaux textes sont cités par TH. DE VALLGORNERA, op. cit., q. II, disp. II-IV; PHILIP. A S. TRINITATE, op. cit., Ia P., Tr. II, disc. I-IV; ALVAREZ DE PAZ, t. II, lib. II, De mortificatione; SCARAMELLI, Guide ascétique, Tr. II, a. 1-6; RODRIGUEZ, Prat. de la perfect. chrét., IIe P., Tr. I et II, De la mortification, De la modestie; TRONSON, Exam. particuliers, CXXXIX-CLXIX; MGR GAY, Tr. VII, De la mortification; MEYNARD, Tr. de la vie intérieure, l. I, ch. II-IV; A. CHEVRIER, Le Véritable disciple, IIe P., p. 119-323.
°429) Nous avons traité plus au long de ces occasions de péché dans notre Synopsis Theologiae moralis, De Paenitentiâ, n. 524-536.
°430) De Imitatione Christi, l. I, c. 25.
°431) Les motifs de pénitence que nous avons exposés [§736 ss.] sont analogues à ceux que nous exposons ici, parce que la pénitence n'est au fond que la mortification en tant qu'elle répare les fautes passées.
°432) Cat. Chrétien, I. P., leç. IV.
°433) OLIER, Cat. Chrétien, I. P., leç. VII.
°434) De Imitatione Christi, l. II, c. 12.
°435) Lc 9:23. Lire le beau commentaire de ce texte dans la Lettre circulaire aux amis de la Croix du Bx L. GRIGNON DE MONTFORT.
°436) Sermo V in festo omnium Sanctorum, n. 9.
°437) Examens particuliers, 1er Ex. de la Mortification.
°438) Mt 19:29; Mc 10:29-30, où il est dit: «centies tantum nunc in tempore hoc».
°439) De Imitatione Christi, l. II, c. 12
°440) Vie dévote, IIIe P, ch. XXIII.
°441) Vie dévote, IIIe P, ch. XXV.
°442) On sait l'insistance durant ces derniers temps des Souverains Pontifs pour prévenir, spécialement les jeunes et les parents, contre ces atteintes à la pudeur chrétienne. Voir spécialement Ency. «sur la jeunesse» de Pie XI, et celle de Pie XII, Sacra Virginitas.
°443) S. THOM., Ia-IIae, q. 22-48; SUAREZ, disp. III; SÉNAULT, De l'usage des passions; DESCURET, La médecine des passions; BELOUINO, Des passions; TH. RIBOT, La psychologie des sentiments; La logique des sentiments; PAYOT, L'éducation de la volonté; P. JANVIER, Carême 1905; H.D. NOBLE, L'éducation des passions; et les auteurs déjà cités sur la mortification.
°444) De la connaissance de Dieu et de soi-même, ch. I, n. VI.
°445) La montée du Carmel, l. I, ch. VI; lire les chapitres VI-XII de ce livre, où le Saint explique merveilleusement les «effets nocifs des appétits», c'est-à-dire des passions. Nous ne faisons que résumer brièvement sa pensée.
°446) La montée du Carmel, l. I, ch. IX.
°447) La montée du Carmel, l. I, ch. XI.
°448) A. EYMIEU, Le gouvernement de soi-même, t. I, 3e Principe.
°449) Et sur la physiologie, d'où la nécessité de recourir parfois au médecin.
°449.1) Liber II, cap. 7-8.
°450) Ce n'est pas ramener la vertu à une moyenne: elle est un sommet, mais il faut éviter les excès qui compromettraient son élan.
°451) L'Action Catholique sous toutes ses formes contribue à ce mouvement qui porte les âmes vers les préoccupations spirituelles.
°452) S. BERNARDUS, In Cant., serm. XXXVI, n. 3.
°453) Epist., LV, C. 22, n. 39; P.L., XXXIII, 223.
°454) SCUPOLI, Combat spirituel, ch. IX, n. 8.
°455) L. cit., n. 10.
°456) Sermo II Paschae, n. 4.
°457) DENZING., n. 1796.
°458) CASSIEN, De caenobiorum institutis, l. V, c. I, P.L. XLIX, 202 sq., Collationes, coll. V, c. X, ibid, 621 sq.; S. JEAN CLIMAQUE, L'Échelle du paradis, grad. XXII, P.G. LXXXVIII, 948 sq.; S. GRÉGOIRE-LE-GRAND, Moral., l. XXXI, c. XLV, P.L. LXXVI, 620 sq.; S. THOMAS, Ia-IIae, q. 84, a. 3-4; De Malo, q. 8, a. 1; S. BONAVENTURE, In II Sentent., dist. XLII, dub. II; MELCHIOR CANO, La victoire sur soi-même, trad. par M. Legendre, Paris, 1923; NOËL ALEXANDRE, De peccatis (Theol. cursus Migne, XI, 707-1168); ALVAREZ DE PAZ, t. II, Lib. I, P. 2a, De extinctione vitiorum; PHIL. DE LA STE TRINITÉ, Ia P., Tr. II, disc. II et III, De vitiorum eradicatione et passionum mortificatione; CARD. BONA, Manuductio ad caelum, cap. III-IX; ALIBERT, Physiologie des passions, 1827; DESCURET, La Médecine des Passions, Paris, 1860; PAULHAN, Les Caractères, Paris, 1902; J. LAUMONIER, La Thérapeutique des péchés capitaux, Paris, Alcan, 1922.
°459) De caenobiorum institutis, l. V, c. I, Collationes, coll. V, c. X.
°460) Moral., l. XXXI, c. XLV, P.L. LXXVI, 620-622.
°461) S. THOM., IIa-IIae, q. 162 et 132; De Malo, q. 8-9; BOSSUET, Tr. de la Concupiscience, c. 10-23; Sermon sur l'ambition; BOURDALOUE, Carême, Serm. pour le mercredi de la 2e sem.; ALIBERT, op. cit., t. I, p. 23-57; DESCURET, op. cit., t. II, p. 191-240; PAULHAN, Les Caractères, p. 167; BEAUDENOM, Formation à l'Humilité, Paris, 1902, p. 33-55; THOMAS, L'Éducation des sentiments, Paris, Alcan, 1904, p. 113-124 et 133-148; LAUMONIER, op. cit., ch. VII.
°462) Tr. de la concupiscence, ch. XI.
°463) Ibid., ch. XXIII; J.-J. OLIER, Introd., ch. VII.
°464) Sum. theol., IIa-IIae, q. 131, a. 1.
°465) Ce n'est pas seulement chez les savants et les riches qu'on trouve ce défaut: Bossuet parle (Tr. de la Concupiscence, ch. XVI) de ces paysans qui, dans les églises, se disputent avec âpreté les bancs les plus honorables, au point de dire qu'ils n'iront plus à l'église, si on ne les satisfait.
°466) Tr. de la Concupiscence, ch. XVI.
°467) «Videri doctores appetunt, transcendere ceteros concupiscunt, atque attestante veritate primas salutationes in foro, primos in coenis recubitus, primas in conventibus cathedras quaerunt.» (Pastoral., p. I, c. I, P.L. LXXVII, 14).
°468) C'est ce qu'explique fort bien ST. THOMAS, IIa-IIae, q. 132, a. 1: «Quod autem aliquis bonum suum cognoscat et approbet, non est peccatum [...]. Similiter etiam non est peccatum quod aliquis velit bona sua ab aliis approbari, dicitur enim Mt 5:16: luceat lux vestra coram hominibus. Et ideo appetitus gloriae de se non nominat aliquid vitiosum. [...] Potest autem gloria dici vana, uno modo, ex parte rei de qua quis gloriam quaerit, puta cum quis quaerit gloriam de eo quod non est, vel de eo quod non est gloria dignum, sicut de aliqua re fragili et caduca. Alio modo, ex parte eius a quo quis gloriam quaerit, puta hominis, cuius iudicium non est certum. Tertio modo, ex parte ipsius qui [...] appetitum gloriae suae non refert in debitum finem [...]»
°469) «Celui qui se blâme, dit S. Fr. de Sales (Esprit, c. XIX) cherche indirectement la louange, et fait comme celui qui rame, lequel tourne le dos au lieu où il tend de toutes ses forces. Il serait bien fâché que l'on croie le mal qu'il dit de lui, et c'est par orgueil qu'il veut être estimé humble.»
°470) Sum. theol., IIa-IIae, q. 162, a. 5-6.
°471) Hominem efficit daemonem contumeliosum, blasphemum, perjurum, facit ut appetantur caedes... (S. CHRYSOSTOMUS, in ep. II ad Thess., C. I, homil. I, n. 2, P.G., 471.
°472) «Alia vitia eas solum impetunt quibus ipsa destruuntur...; superbia autiem, quam vitiorum radicem diximus, nequaquam unius virtutis exstinctione contenta, contra cuncta animae membra se erigit, et quasi generalis ac pestifer morbus corpus omne corrumpit, ut quidquid illa invadente agitus, etiamsi esse virtus ostenditur, non per hoc Deo, sed soli vanae gloriae serviatur.» S. GREGORIUS, Moral., XXXIV, c. 33, n. 48, P.L. LXXVI, 744.
°473) Introduction, ch. VI, 1re Sect.
°474) Préface de la Toussaint.
°475) S. CYPRIEN, De zelo et livore, P.L. IV, 637-652; S. GRÉGOIRE, Moral., l. V, c. 46, P.L. LXXV, 727-730; S. THOM., IIa-IIae, q. 36; De Malo, q. 10; ALIBERT, op. cit., t. I, p. 331-340; DESCURET, t. II, p. 241-274; LAUMONIER, op. cit., ch. V.
°476) «Est tamen quaedam invidia quae inter gravissima peccata computatur, scilicet invidentia fraternae gratiae, secundum quod aliquis dolet de ipso augmento gratiae.» (IIa-IIae, q. 36, a. 4, ad 2).
°476p1) SJJ: Ici le texte réfère à Rm 12:15,16, mais est-ce une erreur?
°477) J. J. Olier, Catéch. Chrét. IIe P., leç. XIII.
°478) S. GRÉGOIRE, Moral., l. V, c. 45, P.L. LXXV, 727-730; S. THOM., IIa-IIae, q. 158; De Malo, q. 12; DESCURET, op. cit., t. II, 1-57; THOMAS, op. cit., ch. IX, p. 94-103; LAUMONIER, op. cit., ch. VI.
°479) «Videbis caedes ac venena, et reorum mutuas sordes, et urbium clades, et torarum exitia gentium... Aspice tot memoriae proditos duces...» (De ira, l. I, n. 2).
°480) Moral., loc. cit., P.L. LXXV, 724.
°481) DESCURET, La Médecine des Passions; J. LAUMONIER, La Thérapeutique..., p. 167-174.
°482) S. FR. DE SALES, Vie dévote, IIIe P., Ch. VIII.
°483) S. FR. DE SALES, ibid.
°484) S. THOM., IIa-IIae, q. 148; De Malo, q. 14; JAUGEY, De quatuor virtut. cardin., 1876, p. 569-574; LAUMONIER, op. cit., ch. II.
°485) Carême, 1921, Retraite pascale, Excès de table.
°486) E. CAUSTIER, La vie et la santé, p. 115.
°487) La Vie spirituelle, trad. Bernadot, IIe P., ch. III.
°488.1) S. THOM., IIa-IIae, q. 153-154; S. ALPHONSUS, l. III, n. 412-485; RIGAUD, La formation à la pureté, 2. vol, Action populaire, 1938; V. DILLARD, Lettres à Jean-Pierre, 2. vol., Paris, Spes, 1938. Sur cette question, beaucoup d'ouvrages paraissent spécialement pour la jeunesse; il importe que les éducateurs les conseillent ou s'en inspirent avec la prudence chrétienne. J. GUIBERT, La Pureté, Paris, 1910; M. DUBOURG, Sixième et neuvième Commandements; VIOLLET, L'éducation de la pureté et du sentiment, Paris, A.M.C.
°488.2)
SJJ: J'aurais bien voulu que l'auteur donne ici des exemples concrets, qui
sont malheureusement si nombreux de nos jours!
Le peuple Canadien-Français aujourd'hui est en train de s'auto-exterminer.
(Radio-Canada dit: «Le taux de natalité est sous le seuil de remplacement», ce
qui est une manière Gauchiste de dire la même chose.) Cette auto-extermination
d'une nation se fait avec l'avortement et le divorce, mais aussi avec la
pilule anti-conceptionnelle. Si on examine la définition de la masturbation
(usage des organes génitaux dans le but d'obtenir le plaisir de l'acte
reproducteur, tout en rendant impossible la reproduction humaine), on voit bien
que cette définition s'applique parfaitement à un vir et une femme, même
mariés dans l'Église, qui copulent tout en usant de moyens anti-conceptionnels.
Ce n'est pas «faire l'amour», c'est de la masturbation mutuelle. Ils usent de
leurs organes génitaux, oui. Ils recherchent le plaisir sexuel, oui. Et ce
qu'ils font ne peut absolument pas mener à la reproduction humaine, oui encore.
J'ai quelques couples en tête qui voulaient des enfants plus tard dans leur vie, mais
qui avaient gâché leur santé reproductrice avec des années de produits chimiques et de
masturbation mutuelle. Triste.
°489) LAUMONIER, op. cit., p. 111.
°490) «Qui ne voit parmi ceux qui sont imprégnés des principes de la religion catholique, que la virginité et la chasteté parfaite, loin de nuire au développement et aux progrès naturels du vir et de la femme, les augmentent et les ennoblissent peu à peu?» (Pie XII, Encycl. Sacra Virginitas, 25 mars 1954).
°491) Vie dévote, IIIe P., ch. XXXIII.
°492) Sess. VI, De justificatione, chapitre XI.
°493) S. THOM., IIa-IIae, q. 35; De Malo, q. 11; NOËL ALEXANDRE, op. cit., XI, 1148-1170; MELCHIOR CANO, La victoire sur soi-même, chap. 10; FABER, Le progrès, ch. XIV; J. LAUMONIER, op. cit., ch. III; VUILLERMET, Soyez des hommes, Paris, 1908, XI, p. 185.
°494) Ne pas oublier l'influence du tempérament, surtout chez l'enfant.
°495) OLLÉ-LAPRUNE, Le prix de la vie.
°496) S. THOM., IIa-IIae, q. 118; De Malo, q. 113; MONTSABRÉ, Retraites pascales, 1892-1894: les Idoles, la richesse; tous les ouvrages qui contribuent à développer le sens social dans l'utilisation de la richesse.
°497) J.-J. OLIER, Introd. aux vertus, ch. II, p. 16 et 29. éd. 1953.
°498) RODRIGUEZ, Prat. de la perfect., IIe Part., 3e Tr.; S. FRANÇOIS DE SALES, Vie dévote, IVe P., ch. III-X; SCARAMELLI, Guide ascét., t. II, art. X; SCHRAM, Instit. theol. myst., §CXXXVII-CXLIX; W. FABER, Progrès, ch. XVI; P. DE SMEDT, Notre vie surnat., IIIe P., ch. III; RIBET, L'Ascétique, ch. X; MGR GAY, Vie et vertus chrét., t. I, tr. VIII; LEHEN, La voie de la paix intér., IIIe P., ch. IV; DOM LEHODEY, Le saint abandon, p. 332-343; BRUNETEAU, Les Tentations du jeune homme, 1912.
°499) SJJ: Je ne parviens pas à trouver dans la Bible [Tb 12:13] cette formulation exacte. Une des différences entre la Vulgate et la Néo-Vulgate?
°500) Vie dévote, IVe P., ch. III.
°501) S. François de Sales raconte (Vie dévote, IVe P., ch. IV) que sainte Catherine de Sienne ayant été violemment tentée contre la chasteté, Notre Seigneur lui dit: «Dis-moi, ces tiennes sales cogitations de ton coeur te donnaient-elles plaisir ou tristesse, amertume ou délectation? Et elle dit: «Extrême amertume et tristesse». Et Notre Seigneur la consola en ajoutant que ces peines étaient un grand mérite et un grand gain.
°502) Vie dévote, loc. cit., ch. VI.
°503) «On est quelquefois surpris de quelque chatouillement de délectation, devant que bonnement on s'en soit pris garde; et cela ne peut être pour le plus qu'un bien léger péché véniel, lequel se rend plus grand si, après qu'on s'est aperçu du mal où l'on est, on demeure par négligence quelque temps à marchander avec la délectation, si l'on doit l'accepter ou la refuser». Vie dévote, loc. cit., ch. VI.
°504) Cette mollesse est bien décrite par MGR GAY, Vie et vertus chrétiennes, traité VIII. p. 525-526: «Elle dort et demeure par suite exposée aux coups de l'ennemi, l'âme paresseuse, l'âme molle, lâche, pusillanime, que tout sacrifice épouvante, que tout travail sérieux surmonte, qui, riche peut-être de désirs, reste pauvre de résolutions et plus encore d'opérations, qui se ménage en tout, suit à peu près toujours ses pentes et se laisse aller aux courants».
°505) Vie dévote, IVe P., ch. IX.
°506) Vie dévote, IVe P., ch. VII.
°507) Voir J. TISSOT, L'art d'utiliser ses fautes d'après S. François de Sales.
°508) De corrept. et gratia, cap. 1.
°509) S. FRANÇOIS DE SALES, Vie dévote, IVe P., ch. XIII-XV; F. GUILLORÉ, Les secrets de la vie spirituelle, tr. VI.; W. FABER, Progrès, ch. XXIII; DOM LEHODEY, Le saint abandon, p. 344 ss.; P. DE SMEDT, Notre vie surnat., IIIe P., ch. V.
°510) S. FRANÇOIS DE SALES, Vie dévote, IVe P., ch. XIII.
°511) Vie dévote, IVe P., ch. XIV.
°512) S. IGNAT., Exercit. spirit., Regulae de scrupulis; ALVAREZ DE PAZ, t. II, l. I, Part. III, cap. XII, §5; SCARAMELLI, Guide ascét., t. II, art. XI; SCHRAM, Instit. theol. myst., t. I, §73-83; S. ALPHONSUS, Theol. moralis, tr. I, De conscientia, n. 10-19; LOMBEZ, Paix intérieure, IIe Part. ch. VII; W. FABER, Progrès, ch. XVII; DUBOIS, L'Ange conducteur des âmes scrupuleuses; P. DE LEHEN, La voie de la paix intérieure, IVe Part.; A. EYMIEU, Le gouvernement de soi-même, t. II, L'obsession et le scrupule; DOM LEHODEY, Le saint abandon, p. 407-414.
°513) S'assurer de son état physiologique qu'un médecin avisé pourra parfois beaucoup améliorer.
°514) S. THOM., Ia-IIae, q. 80, a. 4; De Imitatione Christi, l. III, c. 54, De diversis motibus naturae et gratiae; S. IGNATIUS, Exercit. spirit., Regulae aliquot, etc.; SCARAMELLI, Du discernement des esprits, trad. Brassevin, Paris, 1910; CARD. BONA, De discretione spirituum; RIBET, L'Ascétique, ch. XL; MGR. CHOLLET, Discernement des esprits, Dict. de Théol., t. IV, 1375-1412, avec une abondante bibliographie; Revue d'Ascétique et de Mystique, 1951, p. 367-375; 1952, p. 64-81.
°515) PHIL. A SS. TRINITATE, Sum. Theol. myst., P. II; A. SAUDREAU, Les degrés, t. I, Vie illuminative.
°516) Château, troisièmes demeures. ch. I, p. 80. P.M. EUGÈNE DE L'ENFANT JÉSUS. Je suis fille de Dieu. Je suis fille de l'Église, Éditions du Carmel, 1950.
°517) CHOCARNE, Vie du P. Lacordaire, t. II, 119.
°518) Hymne des Laudes du Saint Sacrement.
°519) Nous ne traitons donc point, dans la voie illuminative, de la purification passive des sens ni de l'oraison de quiétude, qui, précisément parce qu'elles sont déjà un commencement de contemplation infuse, appartiennent à la voie unitive. Nous prévenons cependant les lecteurs que des auteurs de marque pensent que les premières purifications passives et la quiétude appartiennent à la voie illuminative. Cf. P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. chrét. et contemplation, t. I, p. VIII.
°520) TH. DE VALLGORNERA, Mystica theol., q. II, disp. VI, avec de nombreuses citations de S. Thomas; RODRIGUEZ, Prat. de la perfect. chrét., Ire P., Tr. V, De l'oraison; CRASSET, Instr. familières sur l'oraison; COURBON, Instr. familières sur l'oraison, 2ème partie; VEN. LIBERMANN, Écrits spirituels, Instruct. sur l'oraison, De l'oraison d'affection; R. DE MAUMIGNY, Oraison mentale, t. I, 3e P., Oraison affective; D.V. LEHODEY, Les Voies de l'or. mentale, 2e P., ch. VIII.
°521) Sent. l. III, dist. 35, a. I, q. 2: «Optimus enim modus cognoscendi Deum est experimentum dulcedinis; multo enim excellentior et nobilior et delectabilior est quam per argumentum inquisitionis».
°522) Sans doute il y a des Saints qui ont parfois de ces élans d'amour qui se traduisent à l'extérieur par des manifestations sensibles; mais ce ne sont pas eux qui les excitent, c'est la grâce de Dieu, et ce serait présomption que de vouloir exciter en soi-même de violentes émotions, sous prétexte d'imiter les Saints.
°523) S. IGNACE, Exercices spirit., 2e Sem., R. MAUMIGNY, Pratique de l'or. mentale, t. I, Ve Partie; Dict. spirit., fasc. XIV-XV, La contemplation ignacienne, col. 2023-2129.
°524) Ex. spirituels, 2e annot., 4e addit. DURAND, Médit. et lectures pour une retraite de 8 ou 10 jours, p. 256-259.
°525) S. Ignace n'ose aller aussi loin: d'autres saints l'ont osé, et on peut les imiter, si la grâce nous y porte.
°526) Voir la dernière contemplation de S. Ignace, Ex. spir., IVe Sem.
°527) A. DURAND, op. cit., p. 458-459; R. DE MAUMIGNY, l. c., ch. VI.
°528) Dict. spiritualité, fasc. XIII-XIV, col. 2144-2160.
°529) Vie spirituelle, Avril 1929, L'Oraison, selon M. Olier.
°530) S. THOM., Ia-IIae, q. 55-67; IIa-IIae, q. 48-170; SUAREZ, Disput. metaphys., XLIV; de Passionibus et habitibus, de fide, etc.; JOANNES A S. THOMA, Cursus theol., Tr. de Passionibus, habitibus et virtutibus, etc.; ALVAREZ DE PAZ, T. II, lib. III, De adeptione virtutum; PHIL. A SS. TRINIT., P. II, tr. II, dis. I, II; P. RODRIGUEZ, Perfection chrét., divers traités; S. FR. DE SALES, Vie dévote passim; J.-J. OLIER, Introd. à la vie et aux vertus chrét.; MGR GAY, De la vie et des vertus chrétiennes, tr. VI, VII, IX, X, XI; RIBET, Les vertus et les dons; P. DE SMEDT, Notre vie surnaturelle, t. II.
°531) S. THOM., Ia-IIae, q. 62-63; SUAREZ, de Passionibus et habitibus, diss. III; JOANNES A S. THOMA, op. cit., disp. XVI; L. BILLOT, De virt. infusis; P. JANVIER, Carême 1906; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. chrét. et contemplation, p. 62-75.
°532) op. cit., p. 64. [SJJ: il semble y avoir plusieurs coquilles dans le livre ici, pour cette note de bas de page et la suivante. Pas sûr.]
°533) «Vertus morales naturelles et charité», Revue Asc. et Mystique, 1940, p. 3-25, 113-130.
°533) Sum. theol., IIa-IIae, q. 63, a. 4; H. NOBLE, Vie spirituelle, Nov. 1921, p. 103-104.
°533.2) SJJ: Ce cinquième point ne semble pas être traité après le quatrième point. Peut-être à «Division du second chapitre», un peu plus loin?
°534) S. Augustin, Lettre 167 à Jérôme, P.L. XXXIII, 735.
°535) S. GRÉGOIRE, Moral., l. XXII, c. I.
°536) CASSIEN, Confer., II; S. J. CLIMAQUE, L'Échelle, XXVI; S. THOM., IIa-IIae, q. 47-56; P. DE SMEDT, Notre vie surnaturelle, t. II, p. 1-33. P. JANVIER, Carême 1917.
°537) SJJ: Je ne peux m'empêcher de mentionner ici mon petit article sur la butance!
°538) «Prudentia est et vera et perfecta, quae ad bonum finem totius vitae recte consiliatur, iudicat et praecipit» (S. THOM., IIa-IIae, q. 47, a. 13, co.)
°539) «Et ideo necesse est quod prudens et cognoscat universalia principia rationis, et cognoscat singularia, circa quae sunt operationes.» (S. THOM., IIa-IIae, q. 47, a. 3.)
°540) Pour ne pas revenir plusieurs fois sur les mêmes vertus, nous indiquons, autant que possible, le degré de chaque vertu qui correspond aux différentes étapes de la perfection.
°541) S. THOM., IIa-IIae, q. 56-122; DOM SOTO, De justitia et jure; LESSIUS, De justitia; P. JANVIER, Carême 1918; P STEVEN, De Justitia, Desclée, 1953, Éléments de justice sociale, Desclée, 1954.
°542) C'est la remarque de BOSSUET, Sermon sur la justice, éd. Lebarcq, t. V, p. 161: «Quand je nomme la justice, je nomme en même temps le lien sacré de la société humaine, le frein nécessaire de la license... Quand la justice règne, la foi se trouve dans les traités, la netteté dans les affaires, l'ordre dans la police, la terre est en repos, et le ciel même pour ainsi dire nous luit agréablement et nous envoie de plus douces influences.»
°543) AD. TANQUEREY, Synopsis Theologiae moralis, t. III, De virtute justitiae.
°544) S. THOM., IIa-IIae, q. 84; SUAREZ, De virtute et statu religionis, t. I, l. II; BOUQUILLON, De virtute religionis; J.-J. OLIER, Introd. à la vie et aux vertus, ch. I; MGR. D'HULST, Carême 1893, Conf. I; CH. DE SMEDT, op. cit., p. 35-104; RIBET, Les vertus, ch. XXI.
°545) Introd. à la vie et aux vertus, ch. I.
°546) S. J. CLIMAQUE, L'Échelle, IV; S. THOMAS, IIa-IIae, q. 104-105; S. CATHERINE DE SIENNE, Dialogue, t. II, trad. Hurteaud, p. 251-320; S. FR. DE SALES, Vie dévote, 3e P., ch. XI; Entretiens, X-XI; RODRIGUEZ, P. III, tr. V, De l'obéissance; J.-J. OLIER, Introd., ch. XIII; TRONSON, De l'obéissance; MGR GAY, Vie et vertus, tr. XI, De l'obéissance; CH. DE SMEDT, Notre vie surnat., t. II, p. 124-151; RIBET, Vertus, ch. XXIX; D.C. MARMION, Le Christ idéal du moine, Conf. XII, p. 334-389.
°547) Voir l'Encycl. de LÉON XIII, Rerum novarum, et notre Tr. De Justitia, où nous en faisons le commentaire.
°548) «L'obéissance religieuse vertu évangélique et humaine», dans Revue Asc. et Myst., 1951, p. 75-95.
°549) Serm. de diversis, XXXV, 4.
°550) Lettre CXX, trad. BOUIX, 1870, p. 464.
°551) S. IGNAT. Constit., VI, §I, reg. 36.
°552) Lettre CXX, trad. BOUIX, 1870, p. 458-459.
°553) Entr. spirit., ch. XI, p. 170.
°554) S. THOM., IIa-IIae, q. 104, a. 5, ad 3.
°555) Vrays Entr. spirit., ch. XI, p. 191.
°556) Ibid., p. 178.
°557) Sermo de diversis, XLI, 7; tout ce sermon sur l'obéissance est à lire.
°558) S. FR. DE SALES, Entr. spirit., ch. XI, p. 182.
°559) Sum. theol., IIa-IIae, q. 104, a. 3.
°560) S. GREGORIUS, Moral., l. XXV, c. 10.
°561) De Civit. Dei, l. XIV, c. 12.
°562) Sum. theol., IIa-IIae, q. 104, a. 3 co.
°563) Sum. theol., IIa-IIae, q. 104, a. 3, ad 2.
°564) Lettre citée, p. 235-236.
°565) Cité par S. FR. DE SALES, Entr. spirit., p. 183.
°566) S. BERNARDUS, Sermo III in tempore paschali, 3.
°567) Dialogue, trad. Hurtaud, t. II, p. 259-260.
°568) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 123-140; ses commentateurs, en particulier Cajetan et J. de S. Thomas; P. JANVIER, Carême, 1920; RIBET, Vertus, ch. XXXVII-XLII; CH. DE SMEDT, Notre vie surnat., t. II, p. 210-267.
°569) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 123, a. 3, co.
°570) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 123, a. 6, ad 1.
°571) S. FR. DE SALES, Vie dévote, IIIe P., ch. III; J.-J. OLIER, Introd., ch. IX; W. FABER, Progrès, ch. IX; D. V. LEHODEY, Le saint abandon, IIIe Part., ch. III-V; GILSON, La vertu de patience selon S. Thomas et S. Augustin: Arch. Doct. et Hist., 1946.
°572) Constitut. Soc. Jesu, Exam. generale, cap. IV, n. 44.
°573) Notre vie surnaturelle, t. II, p. 260. -- Le P. Capelle, qui a étudié spécialement cette question (Les Âmes généreuses, 1920, 3e P., ch. IV-VII), résume sa doctrine en trois propositions: 1) c'est Notre Seigneur lui-même qui choisit ses victimes; 2) il les avertit d'avance de ce qu'elles auront à souffrir; 3) il demande leur libre consentement.
°574) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 137, a. 1.
°575) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 141-170; SCARAMELLI, Guide ascétique, IIIe Traité, art. 4; RIBET, Vertus, ch. XLIII-XLVIII; CH. DE SMEDT, Notre vie surnat., t. II, p. 268-342. P. JANVIER, Carême, 1921 et 1922.
°576) CASSIEN, Conf. XII; S.J. CLIMAQUE, Échelle, degré XV; S. THOMAS, IIa-IIae, q. 151-156; RODRIGUEZ, P. III, tr. IV, De la chasteté; S. FR. DE SALES, Vie dévote, IIIe P. ch. XII-XIII; J.-J. OLIER, Introduction, ch. XII; S. LIGUORI, Selva, IIe Part., Instr. III, Chasteté du prêtre; MGR GAY, Vie et vertus, tr. X; VALUY, Vertus religieuses, Chasteté; P. DESURMONT, Charité sacerdotale, §77-79; MGR LELONG, Le Saint Prêtre, 12e Conf.
°577) Ency. Casti Connubii, Pie XI, 31 déc. 1930. Voir l'abondante littérature parue à ce sujet, spécialement les publications de l'Association du mariage chrétien, Paris.
°578) Vie dévote, IIIe P., ch. XXXVIII.
°579) Orat., XXXVIII, 7.
°580) Ici Tanquerey réfère à Tb 8:9, mais sa belle citation en français ne correspond pas au latin ni à ma Bible de Jérusalem en français. En gros, Tb 8:5-7 est compatible avec ce qu'il dit, mais ce n'est malheureusement pas dit aussi clairement et concisément qu'il le laisse entendre. Bien sûr, comme Tanquerey ne fait que répéter ce que dit l'Église, il a raison, et Tobie lui-même dirait probablement: «C'est ÇA que je voulais dire, mais dans l'énervement de ma premier nuit de mariage, j'ai cafouillé un peu dans ma prière!».
°581) S. FR. DE SALES, Vie dévote, IIIe P. ch. XXXIX.
°582) Encyclique de Pie XII, Sacra Virginitas, 25 mars 1954.
°583) Voir les excellents conseils de S. FR. DE SALES aux veuves, Vie dévote, IIIe P. ch. XL.
°585) Epistola XXII, ad Eustochium, P.L. XXII, 396.
°586) Ep. LII, ad Nepotianum, P.L. XXII, 531-532: «Nec in praeterita castitate confidas: nec David sanctior, nec Salomone potes esse sanctior. Memento semper quod paradisi colonum de possessione sua mulier ejecerit».
°587) «Nam Deus impossibilia non jubet, sed jubendo monet et facere quod possis, et petere non possis, ad adjuvat ut possis». (Trident., sess. VI, cap. II, DENZ, 804).
°588) Introduction, ch. XII, p. 136-141, éd. 1953.
°589) C'est ce que S. Jérôme recommandait déjà à son cher Népotien: «Hospitiolum tuum aut raro aut numquam mulierem pedes terant... Si propter officium clericatus, aut vidua a te visitatur, aut virgo, nunquam solus introeas. Tales habeto socios quorum conturbernio non infameris... Solus cum sola, secreto et absque arbitro, vel teste non sedeas... Caveto omnes suspiciones, et quidquid probabiliter fingi potest, ne fingatur, ante devita.» (Ep. LII, ad Nepotianum, P.L. XXII, 531-532).
°590) S. Jérôme décrit fort bien ce travers: «Omnis his cura de vestibus, si bene oleant, si pes, laxa pelle, non folleat. Crines calamistro vestigio rotantur; digiti de annulis radiant: et ne plantas humidior via aspergat, vix imprimunt summa vestigia. Tales cum videris, sponsos magis aestimato quam clericos.» (Epist., XXII, P.L. XXII, 414).
°591) Exercices spirituels, trad. Jennesseaux, p. 313-314.
°592) Si 9:5,8-9: «Virginem ne conspicias, ne forte scandalizeris in decore illius... Averte faciem tuam a muliere compta et ne circumspicias speciem alienam. Propter speciem mulieris multi perierunt, et ex hoc concupiscentia quasi ignis exardescit».
°593) Méditations sur les SS. Ordres, p. 105, éd. 1874.
°594) MEYNARD, Vertus de S. Vincent de Paul, ch. XIX, p. 306.
°595) «O quoties ego ipse in eremo constitutus, et in illa vasta solitudine quae exusta solis ardoribus, horridum monachis praestat habitaculum, putabam me Romanis interesse deliciis».
°596) Epist., XXII, n. 7, P.L. XXII, 398.
°597) S. HIERONYM., Epist., XXII, n. 6, P.L. XXII, 398.
°598) Epist., cit., n. 5.
°599) Vertus religieuses, p. 73-74.
°600) «Ama scientiam Scripturam, et carnis vitia non amabis... Facito aliquid operis, ut te semper diabolus inveniat occupatum» (S. HIERONYMUS, Epist., CXXV, n. 6, P.L. XXII, 1078).
°601) L'Échelle, Degré XV, 7.
°602) CASSIEN, Conf., XVIII, ch. XI; S. JEAN CLIMAQUE, L'Échelle du paradis, grad. XXV; S. BERNARDUS, De gradibus humilitatis et superbiae; S. THOMAS, IIa-IIae, q. 161; RODRIGUEZ, Prat. de la perfect. chrét., IIe P., Tr. III, De l'humilité; S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. IV-VII; J.-J. OLIER, Introd., ch. V; L. TRONSON, Tr. de l'humilité; SCARAMELLI, Guide ascétique, Tr. III, a. 11; MGR GAY, Vie et vertus, Tr. VI; BEAUDENOM, Formation à l'Humilité; P. DE SMEDT, Notre vie surnat., t. II, p. 305-342; D.C. MARMION, Le Christ idéal du moine, Conf. XI, p. 277-333; Revue d'Ascétique et de Mystique, 1944, p. 168-180: De quoi s'accusent les saints, par GALTIER.
°603) De gradibus humil., c. I, n. 2.
°604) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 161, a. 3.
°605) «Gratiae tuae deputo et quaecumque non feci mala: quid enim non facere potui, qui etiam gratuitum facinus amavi? Et omnia mihi dimissa esse fateor; et quae mea sponte feci mala, et quae te duce non feci». (Confess., lib. II, c. 7, P.L. XXXII, 681.)
°606) Catéch. chrétien, Ire Part., lect. XVIII.
°607) D.C. MARMION, Le Christ idéal du moine, 1922, p. 299.
°608) D'après le Code, can. 530, les Supérieurs religieux ne peuvent aujourd'hui pousser, en aucune manière, leurs inférieurs à leur manifester leur conscience; mais, ajoute le Code: «il est avantageux pour les religieux d'aller à leurs Supérieurs avec une confiance filiale et leur exposer aussi, si ces Supérieurs sont prêtres, les doutes et les angoisses de leurs conscience».
°609) Introduction à la vie et aux vertus chrétiennes, p. 27-50, édit. 1953.
°610) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 161, a. 4.
°611) Super Missus est, homil. IV, 9.
°612) Enarrat. in Ps. CXLI, c. 7.
°613) Sermo 10 de Verbis Domini.
°614) Élévations, XXe sem., 8e Élév.
°615) Hymne Adoro te de S. Thomas.
°616) MAYNARD, Vertus et doct. spirit. de S. Vincent, p. 207.
°617) MAYNARD, op. cit., p. 214.
°618) MAYNARD, op. cit., p. 218.
°619) C'est ce qu'explique bien MGR GAY, Vie et vertus, t. I, de l'humilité, p. 357-358: «Il y a une habitude d'humilité extérieure où l'âme sincèrement humble maintient toujours le corps. C'est quelque chose de contenu, de réservé, de calme, qui donne à la physionomie entière et à toutes les démarches cette beauté ineffable, cette harmonie, ce charme qu'exprime le mot de modestie. Modeste est le regard, modeste est la voix, modeste le rire, modestes sont tous les mouvements... Rien n'est plus loin de l'apprêt que la vraie modestie. Saint Paul disait [Ph 4:5]: Que votre modestie se montre à tous, car le Seigneur est proche! Là en effet est le secret de cette ravissante et sainte attitude. Dieu est proche de cette âme, et cette âme ne l'oublie jamais: elle vit en sa présence et agit sous ses yeux, en la compagnie des bons anges.»
°620) «Nous disons maintes fois que ne sommes rien, que nous sommes la misère même et l'ordure du monde: mais nous serions bien marris qu'on nous prist au mot, et que l'on nous publiast tels que nous disons; au contraire nous faisons semblant de fuir et de nous cacher, afin qu'on nous coure après et qu'on nous cherche: nous faisons contenance de vouloir être les derniers, et assis au bas bout de la table, mais c'est afin de passer plus avantageusement au haut bout. La vraye humilité ne fait pas semblant de l'être, et ne dit guère de paroles d'humilité». S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. V.
°621) S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. V.
°622) S. JEAN CLIMAQUE, L'Échelle du paradis, grad. XXIV; S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. VIII; J.-J. OLIER, Introd., ch. X; CARD. BONA, Manuductio ad caelum, cap. XXXII; RIBET, L'Ascétique, ch. L; A. CHEVRIER, Le Véritable disciple, p. 345-354.
°623) Saint Jérôme la décrit fort bien dans son Commentaire sur les Galates, V. 22: «La bénignité, dit S. Jérôme, est une vertu suave, aimable, tranquille, au parler doux, aux moeurs affables, alliage heureux de toutes les bonnes qualités. La bonté en est assez voisine, car elle aussi cherche à faire plaisir; mais elle s'en distingue en ceci qu'elle est moins avenante et d'aspect plus sévère; qu'elle est prompte à faire du bien et à rendre service, mais sans cette aménité, cette suavité qui gagne les coeurs».
°624) Introduction, ch. X, p. 111, éd. 1953.
°625) Médit. sur l'Évangile, Sermon, IIIe Jour.
°626) S. FR. DE SALES, Vie dévote, P. III, ch. IX.
°627) P. CHEVRIER, Le disciple, p. 345-354.
°629) Introduction, ch. X..
°630) P. PRAT, La Théologie de St. Paul, t. II, p. 401-402.
°631) S. AUGUSTINIUS, Enchiridion de Fide, Spe et Caritate; S. THOMAS, IIa-IIae, q. 11-16; JOANNES A S. THOMA, De Fide; SUAREZ, De Fide; J. DE LUGO, De virtute fidei divinae; SALMANTICENSES, De Fide; SCARAMELLI, Guide ascétique, Tr. IV, a. 1; L. BILLOT, De virt. infusis, thesis IX-XXIV; BAINVEL, La foi et l'acte de foi; P. DE SMEDT, Notre vie surnaturelle, t. I, p. 170-271; MGR D'HULST, Carême 1892; P. JANVIER, Carêmes 1911 et 1912; P. GARRIGOU-LAGRANGE, De Revelatione, t. I, ch. XIV-XV; S. HARENT, Dict. de Théol., au mot Foi; GUÉRARD DES LAURIERS, Les dimensions de la foi, Paris, le Cerf, 1952.
°632) De la vie et des vertus, t. I, p. 150.
°633) A. DE BLANCHE-RAFFIN, J. Balmès, p. 44.
°634) SJJ: l'édition précédente (IXe édition) disait, à la place de tout ce paragraphe, ceci:
Il y a parfois des objections historiques, critiques, exégétiques qui ne peuvent être résolues que par de longues années d'étude. On se souvient alors que, quand une vérité est prouvée par de bons et solides arguments, la sagesse demande qu'on continue d'y adhérer jusqu'à ce que la lumière puisse dissiper les nuages: la difficulté ne détruit pas les preuves, elle ne fait que montrer la faiblesse de notre esprit.
°635) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 17-22, éd. de la Revue des Jeunes, par P. LE TILLY, O.P. où celui-ci a réuni les matériaux nécessaires à une étude psychologique et dogmatique sur l'espérance; S. FR. DE SALES, Amour de Dieu, l. II, ch. XV-XVII; L. BILLOT, op. cit., thesis XXV-XXX; MGR GAY, t. I, tr. V; P. DE SMEDT, op. cit., t. I, p. 272-364; MGR D'HULST, Carême 1892; P. JANVIER, Carême 1913.
°636) Trident., sess. VI, Cap. 13.
°637) 1Co 15:10; Cf. aussi Ph 3:13-14.
°638) SJJ: Ici Tanqueray semble coller deux bouts ensemble: Lc 24:36 et Mt 14:27.
°639) MAYNARD, Vertus et doct. spirit. de S. Vincent, p. 10.
°640) Ibidem.
°641) MGR D'HULST, Carême, 1892, p. 201.
°642) De Imitat., lib. II, c. 8.
°643) MAYNARD, Vertus et doct. spirit. de S. Vincent, p. 11.
°644) Collecte du IVe dimanche après Pâques.
°645) S. BERNARDUS, De diligendo Deo; S. THOMAS, IIa-IIae, q. 23-44; SALMANTICENSES, Tr. XIX, De caritate theologica; S. FR. DE SALES, De l'amour de Dieu; L. BILLOT, De virt. infusis, thesis XXXI-XXXV; MGR GAY, Vie et vertus, t. II, Tr. XII; P. DE SMEDT, op cit., t. I, p. 365-493; MGR D'HULST, Carême 1892; P. JANVIER, Carême 1915 et 1916; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. chrét., t. I, ch. III; CARD. VAN ROEY, De Caritate, quaestiones selectae, Dessain Malines.
°646) Sum. theol., Ia-IIae, q. 31, a. 3. SJJ: Mais moi je ne comprends pas le rapport de cette citation. Y a-t-il une erreur dans la référence?
°647) «Sic enim proximus caritate diligitur, quia in eo Deus est vel ut in eo Deus sit» (qq. disp. De Caritate, a. 4.)
°648) Amour de Dieu, l. X, ch. VI, X.
°649) Sum. theol., IIa-IIae, q. 184, a. 3; Comment. de Cajetan sur cet article; CARD. MERCIER, Vie intérieure, 1919, p. 98; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. chrét., t. I, p. 217-227.
°650) Amour de Dieu, l. X, ch. X.
°651) De diligendo Deo, ch. XV; Epist. XI, n. 8.
°652) Imitat., l. III, c. V.
°653) Hymne de la fête du S. Nom de Jésus.
°654) Imitat., l. II, c. VIII.
°655) Imitat., l. III, c. XXIV.
°656) Imitat., l. III, c. XXXI.
°657) S. FRANÇOIS DE SALES, Amour de Dieu, l. V, ch. I-V.
°658) Amour de Dieu, l. V, ch. III.
°659) S. FRANÇOIS DE SALES, Amour de Dieu, l. V, ch. XII.
°660) Pie XII, Ency. Menti Nostrae, 2e partie.
°661) Élévations, XIIIe sem., 7e Élév.
°662) Amour de Dieu, l. II, ch. XXII.
°663) «La charité fraternelle est-elle théologale?» Dans Revue Asc. et Myst., 1948, p. 117-134.
°664) C'est ce qu'explique bien le Bx Eudes, Le Royaume de Jésus, 2e P., §35, p. 259: «Regardez votre prochain en Dieu et Dieu en lui; c'est-à-dire, regardez-le comme une chose qui est sortie du coeur et de la bonté de Dieu, qui est une participation de Dieu, qui est créée pour retourner dedans Dieu, pour être logée un jour dedans le sein de Dieu, pour glorifier Dieu éternellement, et dans laquelle Dieu sera en effet éternellement glorifié, soit par miséricorde ou par justice».
°665) Meditat., XIVe jour.
°666) Méditations, La Cène, Ire Part., 75e jour.
°667) Bx J. EUDES, Le Coeur admirable de la T.S. Mère de Dieu, l. IV, et l. XII; Encyclique Miserentissimus Redemptor de Pie XI, du 16 mai 1924; Études Carmélitaines, «Le Coeur», 1950; Ste MARGUERITE-MARIE, Oeuvres, éd. Gauthey; P. DE GALLIFET, Excellence de la dévotion au S. Coeur; J.-B. TÉRRIEN, La dévotion au S. Coeur; P. LE DORÉ, Les Sacrés Coeurs et le V. J. Eudes; Le Sacré Coeur; J. BAINVEL, La dévotion au S. Coeur, doctrine, histoire; L. GARRIGUET, Le Sacré Coeur, exposé historique et dogmatique.
°668) Dans ce bref exposé, sans insister sur les différences accessoires entre la dévotion enseignée par le P. Eudes et celle de Paray-le-Monial, nous essayons de concilier ce qu'il y a de commun dans ces deux formes d'une même dévotion.
°669) Le Coeur admirable, l. XII, ch. II.
°670) ibid., ch. VII.
°671) Première des grandes Révélations, 1673.
°672) Oeuvres complètes, Grenoble, 1901, VI, p. 124.
°673) Il faut pourtant noter qu'à strictement parler, l'objet propre des deux dévotions diffère.
°674) Catéch. chrétien, Ire P, leç. 1, p. 11, éd. 1953.
°675) Lettres, t. II, lettre 458, p. 527, éd. de Gigord, 1935.
°676) Esprit de M. Olier, t. I, 186-187, 193. [SJJ: «186-187, 193»? page et année incomplète?]
°677) Lettres inédites, IV, p. 142.
°678) Lettre CVIII, t. II, p. 227.
°679) La nuit obscure, l. I, ch. II-VII. Cf. Vie spirituelle, Juillet-Août, 1942, p. 80-110, L'expérience mystique de S. Jean de la Croix.
°680) STE THÉRÈSE, écrivant à son frère Lorenzo de Cepeda, qui s'était plaint d'ennuis de ce genre, lui donne ce sage conseil: «Quant aux misères dont vous vous plaignez, il n'en faut faire aucun cas. Bien que je ne puisse parler d'expérience, puisque Dieu m'a toujours préservée de telles passions, je m'explique ce qui se passe. C'est l'intensité même des délices de l'âme qui produit le mouvement dans la nature. Avec la grâce de Dieu cela passera, si vous voulez bien ne pas vous en inquiéter» (Lettre 138, éd. Vicente de la Fuente).
°681) BELLECIUS, Solidae virtutis impedimenta, P. I, cap. II; BOURDALOUE, Retraite, 3e jour, 1re médit.; et en général tous les auteurs de Retraites spirituelles; W. FABER, Le progrès, ch. XXV.
°682) Lc 16:10. -- Au sens littéral, les petites choses désignent les biens temporels et les grandes les biens du ciel.
°683) PHIL. A SS. TRINITATE, op. cit., IIIa P. Tr. I, dis. I; TH. DE VALLGORNERA, op. cit., q. IV, disp. I; A. SAUDREAU, Les degrés, t. II, Vie unitive; Prologue; P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. I, Introduction.
°684) J.-J. OLIER, Introduction à la vie et aux vertus chrétiennes, éd. 1953, p. 162-163.
°685) Élévations sur la vie...de NSJC, 52e élév., t. I, p. 429.
°686) De Imit., l. II, cap. I, 1.
°687) C'est ce qu'expose fort bien S. THOMAS, Ia-IIae, q. 61, a. 5: «Quaedam vero sunt virtutes iam assequentium divinam similitudinem, quae vocantur virtutes iam purgati animi. Ita scilicet quod prudentia sola divina intueatur; temperantia terrenas cupiditates nesciat; fortitudo passiones ignoret; iustitia cum divina mente perpetuo foedere societur, eam scilicet imitando. Quas quidem virtutes dicimus esse beatorum, vel aliquorum in hac vita perfectissimorum».
°688) P. DE GUIBERT, R. A. M., avril 1922, Trois dispositions de théologie mystique, p. 162-172; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perf. et contempl., t. I, ch. IV, a. 2, p. 272-294; P. G. DE STE MARIE-MADELEINE, La contemplation acquise chez les Carmes, dans la Vie spirit., sept. 1923, p. [227]; Dict. Spiritualité, art. Contemplation, fasc. XII, XIII, XIV.
°689) Sum. theol., IIa-IIae, q. 180, a. 1 et 6.
°690) P. G. DE STE MARIE-MADELEINE, La contemplation acquise chez les Carmes, dans la Vie spirit., sept. 1923, p. [227].
°691) On peut donc dire de la contemplation ce que S. THOMAS, Ia-IIae, q. 111, a. 2, ad 2, dit de la justification: «Deus non sine nobis nos iustificat, quia per motum liberi arbitrii, dum iustificamur, Dei iustitiae consentimus».
°692) Cette division est communément admise aujourd'hui, sous un nom ou sous un autre. Dans un article très remarqué de la Vie spirituelle, mars 1923, p. 645, J. MARITAIN, tout en proclamant l'unité de but pour tous, à savoir l'union à Dieu par la charité parfaite et les dons du Saint Esprit, reconnaît qu'en fait il y a deux voies, la voie de ceux qui sont sous le régime des dons actifs et qui n'ont que la contemplation improprement dite, et la voie des contemplatifs, chez qui dominent les dons d'intelligence et de sagesse. Nous reviendrons sur cette doctrine.
°693) Quand on lit, par exemple, la biographie d'hommes comme les PP. Olivaint et Ginhac, d'un M. Mollevaut ou d'un M. de Courson, et de tant d'autres dont les vies ont été publiées, on ne peut s'empêcher d'admirer leurs vertus, leur union à Dieu, leur docilité au Saint Esprit, et cependant on ne voit pas qu'ils aient pratiqué la contemplation infuse.
°694) DOM MÉNAGER, La doct. spirituelle de Clém. d'Alex., dans Vie spirit., janv. 1923, p. 424; cfr. Études carmélitaines, 1920-1922, où on trouve une série d'articles sur la contemplation acquise; notre article sur l'oraison de simplicité, dans Vie spirit., déc. 1920, p. 167-174.
°695) Cette conclusion est admise par le P. GARRIGOU-LAGRANGE, en réponse à une lettre de J. Maritain (Perfection chrét. et contempl., t. II, p. [75]): «Aussi n'avons-nous eu aucune difficulté à le reconnaître plusieurs fois: il se peut que même des âmes très généreuses, faute de certaines conditions qui ne dépendent pas de leur volonté, n'arriveraient à la vie mystique qu'après un temps plus long que la durée ordinaire de notre existence ici-bas. Cela peut provenir non seulement d'un milieu défavorable, d'un manque de direction, mais aussi du tempérament physique».
°696) Rev. des Jeunes, 25 sept. 1923, p. 613. -- C'est aussi ce que prouve J. Maritain dans l'article cité. Il ajoute, il est vrai, que les âmes, en qui prédominent les dons actifs, sont dans l'état mystique, bien qu'elles ne jouissent pas de la contemplation infuse. Nous pensons que, pour éviter toute équivoque, il faudrait ajouter qu'elles sont dans l'état mystique improprement dit.
°697) S. THOMAS, In III Sent., dist. XXXIV-XXXV; Ia-IIae, q. 68; IIa-IIae, qq. 8, 9, 19, 45, 52, 121, 139; ses commentateurs, surtout JOANNES A. S. THOMAS, In Iam IIae, q. 68; SUAREZ, De gratia, P. III, cap. VIII; DENYS LE CHARTREUX, excellent traité de Donis Spiritus S.; J.-B. DE ST JURE, L'homme spirituel, Ie Part., ch. IV, Des septs dons; L. LALLEMANT, La doctrine spirituelle, IVe Principe, La docilité à la conduite du S. Esprit; MGR. PERRIOT, L'Ami du Clergé, 1892, p. 389-393; FROGET, De l'habitation du S. Esprit, p. 378-424; CARD. BILLOT, De virtutibus infusis (1901), p. 162-190; GARDEIL, Dons du S. Esprit, Dict. de théol., t. IV, col. 1728-1781; D. JORET, Les dons du S. Esprit, Vie spirituelle, t. I, pp. 229, 289, 383; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfection chrét. et contempl., t.[SJJ: tel quel dans ma copie papier] ch. IV, a. 5-6, p. 338-417; LABAUCHE, Traité du Saint-Esprit, Paris, Bloud et Gay, 1950.
°698) Dans le livre des Sentences (III Sent., d. 34, q. 1, a. 1), il emploi cette expression: «Dona a virtutibus distinguuntur in hoc quod virtutes perficiunt ad actus modo humano, sed dona ultra humanum modum». Dans la Somme, il se sert d'une expression différente: «secundum ea (dona) homo disponitur ut efficiatur prompte mobilis ab inspiratione divina» (Ia-IIae, q. 68, a. 1). Cfr. J. DE GUIBERT, Dons du S. Esprit et mode d'agir ultra-humain dans Rev. d'As. et de Mystique, oct. 1922, p. 394. Assurément il y a là une nuance un peu différente; cependant il reste vrai que, sous l'influence des dons arrivés à leur développement, nous sommes plus passifs qu'actifs, magis agimur quam agimus.
°699) Sum. theol., IIa-IIae, q. 52, a. 2.
°700) MGR GAY, De la vie et des vertus chrét., t. I, p. 45.
°701) Sum. theol., IIa-IIae, q. 9, a. 1, ad 3: «dona sunt perfectiora virtutibus moralibus et intellectualibus. Non sunt autem perfectiora virtutibus theologicis, sed magis omnia dona ad perfectionem theologicarum virtutum ordinantur sicut ad finem» Cfr. Ia-IIae, q. 68, a. 8.
°702) Quelques théologiens, comme l'abbé Perriot (Ami du Clergé, 1892, p. 391), pensent que les dons interviennent dans toute oeuvre méritoire; sans aller jusque là, on admet communément qu'ils influencent fréquemment sur ses actes à l'état latent, sans que nous en ayons conscience.
°703) De Imit., lib. II, cap. 9, no. 1.
°704) Sum. theol., Ia-IIae, q. 68, a. 8, ad 2.
°705) In IIam IIae, q. 182, a. 1, §VII; cfr. JORET, Vie spirit., 10 avril 1920, p. 45-49, et La Contemplation mystique, 1923, p. 71.
°706) De Imit., lib. III, c. 1.
°708) Is 11:2-3 -- Le text hébreu ne mentionne pas le don de piété; mais les Septante et la Vulgate le font, et depuis le IIIe siècle, la Tradition affirme ce nombre septénaire.
°709) Dict. de Spiritualité, art. (Don de) Conseil.
°710) «Sed quia humana ratio non potest comprehendere singularia et contingentia quae occurrere possunt, fit quod cogitationes mortalium sunt timidae, et incertae providentiae nostrae, ut dicitur Sg 9:14. Et ideo indiget homo in inquisitione consilii dirigi a Deo, qui omnia comprehendit. Quod fit per donum consilii, per quod homo dirigitur quasi consilio a Deo accepto.» (S. THOM., IIa-IIae, q. 52, a. 1, ad 1)
°711) MGR LANDRIEUX, op. cit., p. 163. -- «La privation de ce don nous cause de très grands maux, dit le P. St JURE, 1re P., ch. IV, §7, parce qu'elle... nous rend confus dans nos pensées, aveugles dans nos desseins, précipités dans nos résolutions, inconsidérés dans nos paroles, téméraires dans nos actions»...
°712) Voilà pourquoi DONOSO CORTÈS disait que les meilleurs conseillers sont les contemplatifs: «Parmi les personnes que j'ai vues de près, et j'en ai vu beaucoup, les seules en qui j'ai reconnu un bon sens imperturbable, une véritable sagacité, une merveilleuse aptitude pour donner des solutions pratiques et sages aux problèmes les plus difficiles... sont celles qui ont mené une vie contemplative et retirée». (Essai sur le catholicisme, p. 200).
°713) DE LUBAC, Méditations sur l'Église, Paris, Aubier, 1953.
°714) «Ab illa mensa recedamus tanquam leones, ignem spirantes, diablo terribiles» (In Joan., homil. LXI, 3. P.L., LIX, 260).
°715) C'est la leçon que la divine sagesse donna un jour au B. H. Suso: «Il faut d'abord, lui dit-elle, que mon serviteur aime l'abnégation et qu'il meure entièrement à lui et à toutes les créatures. Ce degré de perfection est bien rare, mais celui qui y est arrivé s'élève rapidement à Dieu..., Est-il étonnant alors que les afflictions et les croix ne l'impressionnent point comme elles impressionnent ceux dont le désir formel est de ne pas souffrir? Les Saints ne sont pas plus que les autres insensibles à la douleur... Mais leur âme est à l'abri de toute atteinte, parce qu'elle ne recherche et n'aime que la croix... Leur corps souffre, mais leur âme s'enivre de Dieu et savoure dans l'extase un bonheur ineffable... L'amour qui les anime fait qu'ils ne peuvent plus prendre la douleur pour une douleur, l'affliction pour une affliction: ils ne connaissent en Dieu qu'une paix profonde et inaltérable.»
°716) Dialogue, livre I, chap. 2, p. 9, éd. Hurtaud.
°717) «Ce que je veux, disait Dieu à Ste Catherine, ce sont les oeuvres multiples d'une souffrance virile, effet de la patience et des autres vertus intérieures à l'âme... Moi qui suis infini, je suis en quête d'oeuvres infinies, c'est-à-dire d'un sentiment infini d'amour. Je demande donc que les oeuvres de la pénitence et autres exercices corporels soient employés à titre de moyens et qu'ils n'occupent pas dans l'affection la place principale... C'est l'âme qui conçoit et engendre la vertu dans la vérité, et c'est par cette vertu intérieure que l'oeuvre finie est unie au sentiment de la charité; dès lors elle aura mon agrément et mes complaisances.» (Dialogue, livre I, chap. X, p. 38-39, éd. Hurtaud.)
°718) C'est la remarque fort juste du P. de Smedt, (Notre vie surnat., t. I, p. 501-502): «Lorsque nous avons une haute idée de la supériorité qu'une personne a sur nous... nous ne nous approchons d'abord d'elle qu'avec un certain sentiment de timidité ou même de trouble; mais si cette personne, que nous regardons comme bien au-dessus de nous, se montre plein de bonté, si elle témoigne un vif plaisir de nous voir, de converser avec nous, de se savoir aimée de nous... si elle affecte de vivre avec nous sur le pied de la plus intime familiarité, le respect que nous inspire sa supériorité, ne nous empêche pas de concevoir pour elle une vive affection... Bien au contraire: plus l'idée que nous avons de sa supériorité sur nous est grande, plus aussi est notre amour, plus profonde notre reconnaissance, plus vif notre désir de lui témoigner cet amour et cette reconnaissance par notre tendresse et notre dévouement. D'un autre côté, quand nous la voyons de plus près, quand nous pénétrons dans son intimité, nous apprécions davantage l'excellence de ses qualités; notre vénération pour elle s'accroît, nous nous sentons pénétrés de reconnaissance et de confusion à la vue de l'estime, de la tendresse, du dévouement, de la délicatesse qu'elle nous montre.»
°719) D. JORET, Les dons du S. Esprit, dans Vie spirit., mars 1920, p. 383-393.
°720) Esprit de M. Olier, t. II, p. 346.
°721) J. JOERGENSEN, S. François d'Assise, p. 463-466. -- On retrouve les mêmes sentiments dans la Journée chrétienne de M. Olier.
°722) S. AUGUST., Confess., l. X, c. 27.
°723) IIa-IIae, q. 8, a. 1.
°724) IIa-IIae, q. 8, a. 3.
°725) «In hac etiam vita, purgato oculo per donum intellectus, Deus quodammodo videri potest... duplex est Dei visio. Una quidem perfecta, per quam videtur Dei essentia. Alia vero imperfecta, per quam, etsi non videamus de Deo quid est, videmus tamen quid non est... secunda [pertinet] vero ad donum intellectus inchoatum, secundum quod habetur in via.» (Ia-IIae q. 69 a. 2 ad 3; IIa-IIae q. 8 a. 7 co.)
°726) Les simples pratiquent ce don de sagesse à leur façon, en savourant longuement quelque vérité divine: telle pauvre vachère, qui ne pouvait achever son Pater; «car, disait-elle, depuis près de cinq ans, lorsque je prononce ce mot Pater et que je considère que Celui qui est là-haut est mon Père, je pleure et je demeure tout le jour en cet état en gardant mes vaches». (H. BRÉMOND, Hist. littéraire, t. II, p. 66)
°727) Traité de la vie intérieure, t. I, n. 246. Il cite à l'appui de son sentiment S. Antonin, Jean de S. Thomas et Suarez. C'est aussi l'enseignement du P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. I, p. 404; «Nous avons toujours dit qu'avant l'entrée dans l'état mystique, les dons interviennent d'une façon soit latente et assez fréquente, soit manifeste, mais rare». -- Cf. P. J. DE GUIBERT, Revue d'Asc. et de Myst., oct 1923, p. 338.
°728) Cantique spirituel, str. V.
°729) L'ornement des noces spirituelles, livre II, c. 66-68.
°730) Royaume des amants, c. XXXIII.
°731) Le P. POULAIN, Grâces d'oraison, ch. VI, apporte pour le prouver un grand nombre de textes.
°732) Confes., l. X, ch. VI
°733) Ga 5:22-23. La Vulgate en énumère douze: «Fructus autem Spiritus est: caritas, gaudium, pax, patientia, benignitas, bonitas, longanimitas, mansuetudo, fides, modestia, continentia, castitas»; elle ajoute donc la longanimité, la modestie et la continence, et met la chasteté au lieu de la tempérance.
°734) Ia-IIae, q. 70, a. 2.
°735) «Beatitudines dicuntur solum perfecta opera, quae etiam, ratione suae perfectionis, magis attribuuntur donis quam virtutibus» (Sum. theol., Ia-IIae, q. 70, a. 2, co.)
°736) BOSSUET, Manière courte et facile pour faire oraison en foi, et de la simple présence de Dieu; THOMAS DE JÉSUS, De contemplatione divina; VEN. LIBERMANN, Écrits spirit., De l'oraison d'affection; Instruct. aux missionnaires, ch. V, art. II; P. POULAIN, Grâces d'oraison, ch. II; D.V. LEHODEY, Les voies de l'oraison, IIe Part., ch. VIII; A. TANQUEREY, L'oraison de simplicité, Vie spirit., déc. 1920, p. 161-174.
°737) Jn 14:23; 1Co 3:17; 6:20.
°738) Traité de la véritable oraison, 3e Part., ch. X.
°739) Vie, ch. XIII, p. 171. -- Cf. P. DUPONT, Vie du P. Balthazar Alvarez, ch. XLI.
°740) Opuscule de la meilleure manière de faire oraison, t. VII, éd. Vivès, p. 501.
°741) Vie par MONNIN, l. V, ch. IV.
°742) Ga 2:20. -- Ste Thérèse, dans sa Vie, ch. XIII, nous donne un exemple de cette oraison; après avoir invité ses soeurs à méditer sur Jésus à la colonne, elle ajoute: «Mais il ne faut pas se fatiguer sans relâche à creuser son sujet: il faut aussi se tenir auprès de Notre Seigneur dans le silence de l'entendement. L'âme tâchera de se pénétrer de la pensée qu'il la regarde; elle lui tiendra compagnie, elle lui parlera, lui adressera des demandes; elle s'humiliera à ses pieds; elle trouvera sa joie auprès de lui, elle se reconnaîtra indigne de demeurer en sa présence. Si elle peut en venir là, même dès le début de l'oraison, elle en tirera grand profit...».
°743) Le P. S. JURE a composé un petit recueil de ce genre: Le Maître Jésus Christ enseignant les hommes; on peut aussi s'inspirer du V. P. CHEVRIER, Le disciple.
°744) Introduction, ch. IV.
°745) L'oraison du coeur, ch. I.
°746) Lettre du 11 mars 1610, t. XIV, p. 266.
°747) S. THOMAS, IIa-IIae, q. 180-182; S. BONAVENTURE, De triplici via; Itinerarium mentis ad Deum; H. SUSO, Le livre de la sagesse; Le livre de la vérité; Bx. J. RUYSBROECK, L'ornement des noces spirituelles; GERSON, La montagne de la contemplation; La théologie mystique spéculative et pratique; DENYS LE CHARTREUX, De fonte lucis et semitis vitae; De contemplatione; Ste THÉRÈSE, Vie par elle-même; Chemin de la perfection; Le château de l'âme; S. JEAN DE LA CROIX, La montée du Carmel; La nuit obscure; La vive flamme d'amour; S. FR. DE SALES, De l'amour de Dieu, l. VI-VII; ALVAREZ DE PAZ, De vita spirituali, t. III, lib. V; P. LALLEMANT, Doctrine spirituelle, VIIe Principe; RIBET, La mystique divine; P. DE MAUMIGNY, Pratique de l'oraison mentale, t. II; P. POULAIN, Les grâces d'oraisons; D.V. LEHODEY, Les voies de l'oraison, IIIe P.; A. SAUDREAU, Les degrés, t. II; L'État mystique; MGR FARGES, Les Phénomènes mystiques; R. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. chrét. et contemplation. Le Dict. de Spiritualité a consacré la fin du fasc. XIII et les fasc. XIV et XV, à une enquête historique et une enquête doctrinale sur le problème de la contemplation; JULES LEBRETON, S.J., "Tu solus Sanctus", Jésus Christ vivant dans les Saints, Étude de théologie mystique, Paris, Beauchesne, 1949.
°748)
"Expérience mystique et Théologie de la grâce", dans Revue de théol.
ascét. et myst., 1951, p. 297-236; S. JEAN DE LA CROIX, Numéro
spécial de la Vie spirituelle, Juillet-Août, 1942.
SJJ: La version numérisée n'avait pas cela, mais plutôt:
"IIa-IIae, q. 180, a. 3, co. et ad 1; a. 7, co. et ad 1", qui me semble aussi correct.
°749) Amour de Dieu, P. VI, c. 3.
°750) "L'intuition mystique dans Ste Thérèse", par DECHOLIN, Paris, 1946.
°751) Oeuvres, t. II, Relation LIV, p. 295.
°752) Vie, ch. XVIII.
°753) Montée du Carmel, l. I, ch. 13.
°754) Vive flamme, strophe III, v. 3, n. 8-9.
°755) L'état mystique, 2e éd., 1921, p. 19-20. -- C'est ce que déclare le P. JANVIER (Carême 1923, Retraite, 2e Instr.): «La contemplation infuse est une grâce imminente et spéciale, à laquelle on n'arrive pas par ses propres efforts, que Dieu donne à qui il lui plaît, quand il lui plaît, dans la mesure où il lui plaît».
°756)
L'institution spirit., ch. XII, t. II des Oeuvres, p. 101-103, éd. 1913.
SJJ: Dans ma version papier, les deux dernières phrases de cette citation n'y sont
pas, alors la version numérique semble meilleure dans ce cas-ci. Le paragraphe
suivant, §1390, lui aussi diffère entre les deux versions à plusieurs endroits.
Parfois, la version numérique a plus de texte, parfois la version papier...
Bizarre. Dans tous les cas, j'essaie de ne rien retrancher.
°757) SUAREZ, in Iam, c. 30, n. 18: «Non sunt tam facile hujusmodi dispensationes afferendae aut extendendae. De Beatissima autem Virgine pie credi potest, et quidem si alicui hoc privilegium concessum est, illi maxime datum est.»
°758) L. DE BLOIS, L'institution spirituelle, ch. XII, §2, p. 89-90.
°759) Ste THÉRÈSE, 2e Relation au P. Rodrigue, Oeuvres, p. 295-296; Chemin de la perfection, ch. XXXI.
°760) Ste THÉRÈSE, 2e Relat., l.c., p. 296-297.
°761) «Quelqu'un qui soit en moi, plus moi-même que moi», P. CLAUDEL.
°762) Serm. in Cant., LXXIV, 5-6.
°763) JOANNES A S. THOMAS, in Iam IIae, q. 68-70, disp. 18, no. 11-12; JORET, Vie spirituelle, sept. 1920, p. 455-456.
°764) Nuit, l. II, ch. 17.
°765) Théologie mystique, ch. I, §3, trad. Darboy.
°766) Comment. de div. nomin., c. XIII, lect. 3.
°767) S. THOM., I Sent., dist. 8, q. 1, a. 1, ad 4.
°768) Serm. in Cantic., I, n. 11-12.
°769) Aussi le P. POULAIN (Grâces d'oraison, ch. V), tout en donnant cette présence de Dieu sentie comme l'élément fondamental de la contemplation, ajoute que dans les degrés inférieurs (quiétude) Dieu ne fait sentir sa présence que d'une manière assez obscure.
°770) S. JEAN DE LA CROIX, Vive flamme, 3e str., v. 5. et 6.
°771) Vive flamme, 3e str., v. 3, n° 6.
°772) Vive flamme, 3e str., v. 1.
°773) Vie, XII, p. 160.
°774) Amour de Dieu, l. VI, ch. 4.
°775) Ibid., ch. 3.
°776) Chemin de la perfection, ch. XVI, p. 128.
°777) Pensées sur le Cantique des Cantiques, ch. VI.
°778) IIa-IIae, q. 180, a. 2.
°779) Montée du Carmel, l. II, ch. 13.
°780) Château intérieur, IVe Dem., ch. II et III, p. 112, 117.
°781) Montée, l. I, c. XI, p. 40-41.
°782) «C'est pourquoi ils disent à l'âme: Allons, abandonnez ces pratiques, ce n'est qu'oisiveté et perte de temps! Agissez, remettez-vous à méditer, à faire des actes intérieurs... tout le reste n'est qu'illuminisme et duperie. Les maîtres spirituels qui agissent ainsi ne comprennent donc ni le recueillement ni la solitude spirituelle de l'âme. Ils ne savent pas que dans cette solitude Dieu raffermit l'âme par ces ineffables onctions, ils jugent utile d'y superposer ou d'y mêler les onguents vulgaires d'un exercice spirituel qui force l'âme de remettre ses puissances en activité». (Vive flamme, 3e strophe, v. 3, n. 8, p. 216-217). Ste Thérèse se plaint aussi de ces directeurs qui font travailler les puissances, même le dimanche. (Vie, chap. XIII).
°783) Montée du Carmel, l. II, c. XI.
°784) Les explications de chacun de ces trois signes se trouvent au chapitre XII de la Montée du Carmel.
°785) Montée, l. II, ch. XIII.
°786) Congrès carmélitain de Madrid, thème VI.
°787) Cf. La Mère Suzanne-Marie de Riants de Villerey; Ami du Clergé, 2 Août 1923, p. 488.
°788) M. J. RIBET, Mystique divine, t. I, ch. X, énumère les principales classifications. Alvarez de Paz en compte 15: l'intuition de la vérité, la concentration intérieure des forces de l'âme, le silence, le repos, l'union, l'audition de la parole de Dieu, le sommeil spirituel, l'extase, le ravissement, l'apparition corporelle, l'apparition imaginaire, la vision intellectuelle, l'obscurité divine, la manifestation de Dieu, la vision intuitive de Dieu. -- Schram a une nomenclature plus complète et plus confuse. -- Le P. Scaramelli distingue douze degrés: le recueillement, le silence spirituel, la quiétude, l'ivresse d'amour, le sommeil spirituel, les anxiétés et la soif d'amour, les touches divines, l'union mystique simple, l'extase, le ravissement, l'union stable et parfaite. -- Le P. Philippe de la T. Ste Trinité en énumère six: la récollection, la quiétude, l'union ordinaire, l'impulsion divine, le ravissement, le mariage spirituel.
°789) Nuit, l. I, ch. IX.
°790) Nuit, l. I, ch. IX.
°791) Nuit, l. II, ch. X.
°792) Une comparaison peut le faire comprendre: quand on examine à l'oeil nu un verre d'eau, on n'y voit rien d'inquiétant; si on le regarde à l'aide d'un puissant microscope, on recule d'horreur à la vue des petits monstres qu'on y découvre. Or la contemplation est comme un microscope qui nous aide à mieux voir nos défauts.
°793) Nuit, l. I, ch. X.
°794) Nuit, l. I, ch. XI.
°795) DOM LEHODEY, Les voies de l'oraison, p. 260.
°796) Nuit, l. I, ch. XIV.
°797) Nuit, l. I, ch. XII.
°798) Nuit, l. I, ch. XIII.
°799) Nuit, l. I, ch. XII.
°800) Nuit, l. II, ch. XIII.
°801) Vie, ch. VIII, p. 120.
°802) Nuit, l. I, X.
°803) Le Card. BONA (Via compendii ad Deum, c. 10, n. 6) dit que S. François d'Assise passa deux ans dans ces épreuves purificatrices, Ste Thérèse, dix-huit; la Bse Claire de Montefalco, quinze; Ste Catherine de Bologne, cinq; Ste Madeleine de Pazzi, cinq années d'abord, puis seize autres; le V. Balthazar Alvarez, seize. -- Ces chiffres comprennent sans doute la durée des deux nuits, lesquelles sont généralement séparées par un intervalle notable de douces consolations.
°804) Le Château intérieur, composé en 1577, au monastère de Tolède, cinq ans avant sa mort, sur la demande du P. Gratien et du P.Velasquez, est le couronnement et la synthèse de toutes ses Oeuvres, où elle décrit avec clarté et précision les sept degrés principaux d'oraison correspondant aux sept états de la vie spirituelle. La veille de la fête de la Ste Trinité, elle était à se demander quelle serait l'idée fondamentale de ce Traité lorsque Dieu voulut bien lui-même la lui suggérer. Il lui montra l'âme en état de grâce comme un magnifique globe de cristal en forme de château, ayant sept demeures. Dans la septième, au centre, se trouve Dieu lui-même, brillant d'un éclat merveilleux dont toutes les demeures se trouvent illuminées, et cela d'autant plus qu'elles sont plus proches du centre. En dehors du château, il n'y a que ténèbres et immondices, et des bêtes venimeuses qui s'attaquent à ceux qui s'aventurent en ces parages. La porte d'entrée c'est l'oraison, qui nous fait rentrer en nous-mêmes et trouver Dieu. On en sort par le péché mortel, dont la sainte fait une terrible description (1re Dem., ch. II).
Il y a sept demeures: les deux premières correspondent à la voie purgative; la troisième à la voie illuminative; c'est avec la quatrième que commence la contemplation infuse.
Ste THÉRÈSE, Oeuvres complètes, I vol. éd. du Seuil.
°805) Ste THÉRÈSE, Château, 4e Dem., ch. 3, p. 116.
°806) Relat. au P. Rodrigue Alvarez, Oeuvres, t. II, p. 295.
°807) Château, 4e Dem., ch. 3, p. 115.
°808) Am. de Dieu, l. VI, ch. 7.
°809) Château, l. cit., p. 120.
°810) Château, l. cit., p. 118-119.
°811) Chemin de la perfection, ch. XXI, p. 222-224. -- La Sainte ne parle que de la volonté, parce que c'est elle qui, étant la reine des facultés, est saisie principalement et la première, la contemplation étant un acte d'amour encore plus que de connaissance; mais, comme la volonté n'agit qu'éclairée par l'intelligence, celle-ci est aussi dans une certaine mesure sous l'emprise divine.
°812) Vie, ch. XIV, p. 180.
°813) Château, 4e Dem., ch. 1, p. 106.
°814) Château, 4e Dem., ch. II, p. 108-109.
°815) Ibid., p. 110.
°816) Vie, ch. XIV et XV, pp. 181, 182.
°817) Château, 4e Dem., ch. III, p. 122.
°818) S. Jean de la Croix fait remarquer (Montée, l. II, ch. XIV) que le temps passe si rapidement quand on jouit de la contemplation que parfois on se trompe sur sa durée: ce qui semble n'avoir duré que deux ou trois minutes peut fort bien s'être prolongé davantage.
°819) Déjà CASSIEN avait remarqué ces variétés, Conf., X, ch. 24.
°820) Chemin de la perfection, ch. XXXI, p. 228.
°821) Vie, ch. XVI, p. 204.
°822) Amour de Dieu, l. VI, ch. 6.
°823) Chemin de la perfection, ch. XXXI, p. 225.
°824) Ste THÉRÈSE, Vie, ch. XV, p. 193-194.
°825) Amour de Dieu, l. VI, ch. 10.
°826) Château, 5e Dem., ch. I, p. 134; Cf. Vie, ch. XVIII.
°827) Elle en donne la raison, Château, p.131: «Effectivement, sa Majesté est alors tellement jointe et unie à l'essence même de l'âme, que le démon n'oserait approcher»...
°828) Vie, ch. XVIII, p. 224: «Cette oraison, si longue qu'elle soit, ne nuit pas à la santé; du moins ne m'a-t-elle jamais éte préjudiciable. Si indisposée que je fusse quand Dieu m'accordait cette faveur, je ne me souviens pas de m'en être jamais mal trouvée; j'en éprouvais au contraire un mieux très sensible».
°829) Vie, ch. XVIII, p. 218.
°830) Château, 5e Dem., ch. II, p. 138-143.
°831) Ibid., p. 146-158.
°832) Ibid., p. 159-166.
°833) Amour de Dieu, l. VII, ch. IV-VI.
°834) Vie, p. 249.
°835) Vie, ch. XVIII et XX.
°836) Château, 6e Dem., ch. II, p. 180.
°837) Vie, ch. XX, p. 246.
°838) Château, 6e Dem., ch. IV, p. 199.
°839) Ibid., p. 207-208.
°840) Ibid., ch. V, p. 214.
°841) Am. De Dieu, l. VII, ch. VII.
°842) Nuit obscure, l. II, ch. 2.
°843) Nuit obscure, l. II, ch. 5.
°844) Nuit, l. II, ch. IX.
°845) Nuit, l. II, ch. XIX-XXII.
°846) Château, 7e Dem., ch. II, p. 287.
°847) Cantique spirituel, str. XXII.
°848) Château, 7e Dem., ch. II, p. 290-291.
°849) Parfois le mariage spirituel est célébré avec des cérémonies spéciales, échange d'anneaux, cantiques angéliques, etc.; à l'exemple de Ste Thérèse, nous laissons de côté tous les accessoires.
°850) Château, 7e Dem., ch. II, p. 284.
°851) Relation XXV, t. II des Oeuvres, p. 246.
°852) Château, ibid., p. 286.
°853) Qu'on remarque ces expressions qui indiquent bien la différence immense qu'il y a entre le simple acte de foi et la connaissance ou persuasion que donne la contemplation.
°854) Château, 6e Dem., ch. I, p. 279-281.
°855) Château, l.c., p. 308.
°856) Ibid., p. 295.
°857) Château, l.c., p. 296.
°858) Ibid., p. 300.
°859) Ibid., p. 299.
°860) Ibid., p. 313-314.
°861) Ibid., p. 314.
°862) Château, Épilogue, p. 316-317.
°863) P. POURRAT, La spiritualité chrétienne, t. I, pp. 97-99, 104-107; t. II, pp. 320-321, 327-327.
°864) P. DUDON, Le Quiétiste espagnol Michel Molinos, Paris, 1921.
°865) Pour voir jusqu'où allait Molinos, on n'a qu'à lire les propositions extraites de ses livres ou de ses déclarations et condamnées par Innocent XI (Décret du 28 août et Constit. Caelestis Pastor du 19 nov. 1687), dans DENZINGER, Enchiridion, n. 1221-1288.
°866) Fénelon, Maximes des Saints, nouv. éd. par A. Chérel, 1911; GOSSELIN, Oeuvres de Fénelon, t. IV; L. CROUSLÉ, Bossuet et Fénelon, 1894; HUVELIN, Bossuet, Fénelon, le quiétisme; A. LARGENT, Fénelon, (Dict. de Théol., t. V, col. 2138-2169); MGR. CALVET, De S. François de Sales à Fénelon, chap. XV, Le quiétisme, Paris, de Gigord, 1938.
°867) On trouvera dans l'Enchiridion de Denzinger, 1327-1349, les propositions de Fénelon.
°868) Ces articles furent rédigés au Séminaire d'Issy comme le résultat des conférences tenues entre Bossuet, Noailles, évêques de Châlons, Fénelon et M. Tronson, 1694-1695.
°869) P. JOSÉ, Études relig., 20 déc. 1897, p. 804; MGR. FARGES, Phén. mystiques, p. 174-184.
°870) STE THÉRÈSE, Vie, ch. XXV-XXX; Château de l'âme, 6e Demeure et alibi passim; S. JEAN DE LA CROIX, [SJJ: quel livre? La Montée du Carmel?] l. II, ch. XXI-XXX et alibi passim; ALVAREZ DE PAZ, op. cit., t. III, lib. V, p. IV, de discretione spirituum; M. GODINEZ, Praxis théol. myst., lib. X; BENEDICTUS XIV, De beatificat., lib. IV, P. I; RIBET, La mystique divine, t. II; A. POULAIN, Grâces d'oraison, ch. XX-XXIII; A. SAUDREAU, L'État mystique, éd. 1921, ch. XVII-XXI; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. et contemplation, t. II, p. 536-562; MGR. A. FARGES, Phén. mystiques, IIe Partie.
°871) De serv. Dei beatif., l. II, c. 32, n. 11: «Siquidem hisce revelationibus taliter approbatis, licet non debeatur nec possit adhiberi assensus fidei catholicae, debetur tamen assensus fidei humanae, juxta prudentiae regulas, juxta quas nempe tales revelationes sunt probabiles pieque credibiles».
°872) Décret d'Urbain VIII, 31 mars 1625; de Clément IX, 23 mai 1668.
°873) Sum. theol., III, q. 76, a. 8. -- C'est aussi ce qui résulte du témoignage de Ste Thérèse, Relat. XIII, Oeuvres, t. II, p. 234: «Je compris, par certaines choses qu'il me dit, que, depuis qu'il est remonté aux cieux, il n'est jamais descendu sur terre pour se communiquer aux hommes, si ce n'est dans le T. S. Sacrement».
°874) Vie, ch. XXVIII.
°875) Vie, ch. XXIX.
°876) Vie, ch. XXVII, p. 336.
°877) Château, 6e Dem., ch. X, p. 262.
°878) S. Jean de la Croix traite au long des trois espèces de paroles surnaturelles, successives, formelles et substantielles. La Montée du Carmel, l. II, ch. XXVI-XXIX.
°879) S. THOM., Ia-IIae, q. 113, a. 8; De Veritate, q. 28, a. 3; Cf. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. 560.
°880) La Montée du Carmel, l. II, ch. XVI.
°882) Telle fut en particulier Madeleine de la Croix, franciscaine de Cordoue, au XVIe s., qui, après s'être donnée au démon dès son enfance, entra au couvent à l'âge de dix-sept ans, et fut trois fois abbesse de son monastère. Aidée par le démon, elle simula tous les phénomènes mystiques, extases, lévitation, stigmates, révélations et prophéties plusieurs fois réalisées. Se croyant sur le point de mourir, elle fit des aveux, puis les rétracta, fut exorcisée et enfermée dans un autre couvent de son ordre. Cfr. POULAIN, Grâces d'oraison, ch. XXI, n. 36.
°883) Ste Thérèse en parle plusieurs fois: «Il est des personnes -- j'en ai connu, non pas trois ou quatre, mais un grand nombre -- qui, par suite de la débilité de leur imagination ou de l'activité de leur entendement, ou je ne sais pour quel autre motif, se trouvent tellement remplies des fantômes de l'imagination qu'elles croient voir réellement tout ce qu'elles pensent». (Château, 6e Dem., ch. IX, p. 253).
°884) Ainsi, au milieu du XIXe s., une voyante, nommée Cantianille, gagna la confiance d'un pieux évêque qui publia une prétendue révélation contenant une peinture horrible des moeurs des prêtres de son diocèse; il fut bientôt obligé de donner sa démission. (POULAIN, op. cit. ch. XXII). C'est peut-être pour cette raison qu'on a prohibé la publication du Secret de Mélanie. Ainsi en est-il à des degrés divers de la plupart des prétendues visionnaires modernes chez lesquelles le ridicule voisine avec la puérilité ou l'inconvenance.
°885) Ainsi il est raconté dans la vie de Ste Catherine de Bologne que le démon lui apparaissait parfois sous la forme du Christ crucifié et lui commandait, sous prétexte de perfection, des choses impossibles, pour la jeter dans le désespoir. (Vita altera, cap. II, 10-13, dans les Bollandistes, 9 mars).
°886) Château, 6e Dem., ch. VIII, p. 242-243.
°887) La cité mystique, part. II, n. 128; part. I, no. 122; ce passage est omis dans la traduction française.
°888) BOLLANDISTES, 25 mai, p. 247.
°889) Benoît XIV (De beatific., l. III, c. LIII, n. 16) discute une extase de Ste Catherine de Sienne, où la Ste Vierge lui aurait dit qu'elle n'était pas immaculée.
°890) BOLLANDISTES, 13 janvier, préface à la vie de la Bse Véronique de Binasco; S. ALPH. DE LIGUORI, Horloge de la Passion.
°891) S. BERNARD, Lettres, LVI.
°892) Le P. FAGES, O. P., dans l'Histoire de S. V. Ferrier, explique que c'était une prophétie conditionnelle, comme celle de Jonas sur Ninive; et que le monde fut sauvé précisément par les conversions nombreuses que fit le Saint.
°893) Révélat. supplémentaires, ch. XLIX.
°894) Dans les Oeuvres de Marie Lataste, on a retrouvé, par ses révélations, des passages traduits littéralement de la Somme de S. Thomas.
°895) Château, 6e Dem., ch. III, p. 186.
°896) Montée du carmel, l. II, ch. X, p. 97, 2e éd. Hoornaert: tout ce chapitre est à lire.
°897) Montée du Carmel, l. II, ch. XX, p. 170.
°898) Histoire de Ste Thérèse par une Carmélite, ch. XII.
°899) F. PRAT, La Théologie de St Paul, t. I, pp. 150-157, 498-503; P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. 536-538.
°900) On lira avec intérêt l'article où S. THOMAS synthétise ces diverses grâces (Ia-IIae, q. III, a. 4), en montrant combien elles sont utiles au prédicateur de la foi: 1) pour lui donner une pleine connaissance des choses divines; 2) confirmer ce qu'il prêche par des miracles; 3) et prêcher la parole de Dieu avec plus d'efficacité.
°901) De beatificat., l. III, c. XLIX.
°902) RIBET, La Mystique, IIe P., ch. XXIX; MGR FARGES, op. cit., IIe Part., ch. III, a. 3.
°903) De beatificat., l. IV, 1re Part., c. XXVI, n. 8-30.
°904) Ce miracle fut examiné avec soin au procès de canonisation, et les examinateurs en conclurent que rien ne pouvait l'expliquer naturellement (BOLLANDISTES, 15. oct., t. LV, p. 368, n. 1132).
°905) De beatificat., l. IV, 1re Part., c. XXXI, n. 19-28.
°906) La stigmatisation, t. II, p. 183.
°907) BENEDICT. XIV, op. cit., l. IV, P. I, c. XXVII.
°908) Cette différence est mise en lumière par des incroyants comme M. DE MONTMORAND, Psychologie des Mystiques, 1920, bien que lui-même attribue ces phénomènes à l'hallucination. -- Pour la réfutation de ces théories, cfr. A. HUC, Névroses et mysticisme, Rev. de Philosophie (P. Peillaube), juil., août, 1912, pp. 5, 128.
°909) Tel est le résumé des caractères signalés par P. JANET, L'automatisme psychologique, IIe P., ch. III-IV; DE SINETY, Psychopathologie et direction, Paris, Beauchesne, 1934.
°910) EM. GEBHART, Rev. hebdomadaire, 16 mars 1907.
°911) DEL RIO, Disquisitiones magicae, 1609; THYRAEUS, De locis infestis, De spirituum apparitionibus; De daemoniacis, 1609; RIBET, Mystique divine, t. III; A. POULAIN, op. cit., ch. XXIV, §6-8; A. SAUDREAU, L'État mystique, ch. XXII-XXIII; Études carmélitaines, «Satan», 1948.
°912) M. DE LANTAGES, Vie de la Vén. M. Agnès, ed. Lucot, 1963, Ire Part., ch. X.
°913) P. POULAIN, op. cit., ch. XXIV, n. 94.
°914) Bollandistes, 22 février, t. VI, p. 340, n. 178.
°915) A. MONNIN, Le Curé d'Ars, l. III, ch. II.
°916) Vie par une Carmélite, t. II, ch. XXVII.
°917) P. POULAIN, l. cit..
°918) Instit. theol. mysticae, §219.
°919) Outre les auteurs cités, cfr. MGR WAFFELAERT, au mot Possession dans le Dict. d'Apologétique.
°920) Lettre du 3 mai 1635 au P. d'Attichy.
°921) De exorcizandis obsessis a daemonio.
°922) On cite en effet des cas d'exaltation morbide réveillant dans la mémoire des langues oubliées, ou du moins des fragments qu'on avait entendus: telle cette servante d'un pasteur qui récitait des morceaux de grec ou d'hébreu qu'elle avait entendu lire à son maître. -- Le Rituel est donc sage quand il dit: «ignota lingua loqui pluribus verbis vel loquentem intelligere».
°923) J. M. CHARCOT ET RICHER, Les démoniaques dans l'art; BOURNEVILLE ET REGNARD, L'Iconographie de la Salpêtrière; RICHER, Études cliniques sur la grande hystérie.
°924) Essai de théol. morale, ch. IV, éd. refondue par le Dr. Ferrand, 1884, p. IV, ch. III, §2.
°925) «Admoneatur obsessus, si mente et corpore valeat, ut pro se oret Deum ac jejunet et sacra confessione et communione saepius ad arbitrium sacerdotis se communiat». (Rituale, De exorciz. obsessis).
°926) «Ut fias aqua exorcizata ad effugandam omnem potestatem inimici, et ipsum inimicum eradicare et explantare valeas cum angelis suis apostaticis»... (Rituale, Ordo ad fac. aquam benedictam).
°927) Préface de la Croix.
°928) Mc 16:17. -- S. Alph. Rodriguez avait coutume de faire un grand signe de croix au moment de l'obsession, et de commander au tentateur de se prosterner et d'adorer Jésus, en vertu de ce texte de S. Paul: «Qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et dans les enfers» [Ph 2:10], ce qui, ajoute-t-il, le mettait en fuite.
°929) LEHMKUHL, Theol. moralis, t. II, no. 574, éd. 1910.
°930) «Circumstantes qui pauci esse debent admoneat ne... ipsi interrogent obsessum, sed potius et enixe Deum pro eo precentur» (Rituale, l. c.). -- C'est peut-être parce qu'on avait manqué à cette règle dans les exorcismes de Loudun qu'il fallut les prolonger si longtemps, non sans quelques fâcheux incidents.
°931) A. SAUDREAU, L'État mystique, ch. IX, XI, XIV et Appendices; A. POULAIN, Grâces d'oraison, 10e éd. avec Introd. du P. Bainvel; MGR LEJEUNE, art. Contemplation du Dict. de Théologie; MGR A. FARGES, Phénom. mystiques et Controv. de la Presse; P. JORET, La contemplation mystique; P. GARRIGOU-LAGRANGE, Perfect. et contemplation.
°932) Sur ce point, voir Doct. spirit., art. Contemplation, fasc. XIII-XIV, col. 2146-2150, col. 2163-2166.
°933) Grâces d'oraison, ch. VI, no. 16.
°934) La mystique chrétienne, dans la Rev. de Philosophie, 1912, t. XXX, p. 478.
°935) La saisie immédiate de Dieu dans les états mystiques, 1923.
°936) Cette accusation serait particulièrement injuste à l'égard de ceux qui, comme MGR FARGES, (Phén. myst., p. 95 ss., et Réponses aux Controverses, ch. V-XII) admettent que la contemplation se fait dès le premier degré, par des espèces impresses infuses, et l'appellent immédiate, parce que l'espèce impresse est non pas id quod videtur, ni même id in quo videtur, mais id quo res ipsa videtur. On peut critiquer cette manière de voir, mais on ne peut pas y reconnaître l'ontologisme.
°937) Pour mieux apprécier ce langage, on lira avec intérêt les passages recueillis par le P. POULAIN, Grâces d'oraison, ch. V-VI, avec les interprétations données par lui et celles que donne en sens contraire M. A. SAUDREAU, L'État mystique, Appendice II.
°938) Les PP. Arintero, Garrigou-Lagrange, Joret, Janvier, etc.
°939) Dom Louismet, Dom Huyben, etc.
°940) P. Ludovic de Besse.
°941) P. Théodore de S. Joseph, Essai sur l'oraison selon l'école carmélitaine, 1923. -- Voir cependant ses restrictions, p. 128.
°942) L. Peeters, Vers l'union divine par les Exercices de S. Ignace, 1924.
°943) Le P. Lamballe, La contemplation.
°944) Mgr. Saudreau, Doct. spirit., Contemplation, 2160-2169.
°945) P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., p. 450.
°946) On trouvera ces arguments exposés par le P. R. DE MAUMIGNY, Pratique de l'oraison mentale, t. II, Ve P.; MGR FARGES, Phénomènes mystiques, Ie Part., ch. IV; Controv. de la Presse, ch. IV; J. DE GUIBERT, Rev. d'Asc. et de Mystique, Janv. 1924, p. 25-32.
°947) J. DE GUIBERT, l. cit., p. 26.
°948) De virtutibus infusis, th. VIII.
°949) P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. [78].
°950) «Cela peut provenir, dit le P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. [75], non seulement d'un milieu défavorable, d'un manque de direction, mais aussi du tempérament physique. Et à ce sujet il est bon de rappeler avec M. J. Maritain, que, selon les thomistes comme Bannez, Jean de S. Thomas, les Carmes de Salamanque, même les qualités de tempérament sont, en un sens, chez le prédestiné un effet de la prédestination.»
°951) Congrès carmélitain, 1923, thème V. -- Le Congrès a évité de se prononcer sur la question de l'appel universel à la contemplation, sans doute parce qu'il regardait ce point comme douteux.
°952) P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. [71-79].
°953) On trouvera beaucoup de documents dans les ouvrages suivants: HONORÉ DE STE MARIE, Tradition des Pères et des auteurs ecclésiastiques sur la contemplation; A. SAUDREAU, La Vie d'union à Dieu, 3e éd. 1921; P. GARRIGOU-LAGRANGE, op. cit., t. II, p. 662-740; P. POURRAT, La Spiritualité chrétienne. Mais l'étude critico-historique de ces documents au point de vue spécial de l'appel universel à la contemplation reste encore à faire.
°954) Cette solution est, ce nous semble, celle de DOM V. LEHODEY, Voies de l'oraison, IIIe P., ch. XIII, Le Saint Abandon, IIIe P., ch. XIV; de MGR WAFFELAERT, R.A.M., janv. 1923, p. 31, et dans ses divers ouvrages; de l'École carmélitaine et de ceux qui admettent un état de contemplation acquise tant soit peu durable. Elle se rapproche de celle du P. M. DE LA TAILLE, L'oraison contemplative, comme aussi de la solution proposée par M. J. MARITAIN, Vie spirituelle, mars 1923, qu'on retrouve dans l'ouvrage du P. GARRIGOU, t. II, p. [58-71].
°955) Nuit obscure, l. I, ch. VIII, ch. XIV.
°956) Note sur la Nuit obscure, p. 5-6.
°957) Ami du Clergé, 8 déc. 1921, p. 697.
°958) In Cantica, sermo LVII, n. 11; nous condensons la pensée du Saint.
°959) Vie par le P. DUPONT, ch. XIII, ch. XLI, 5e difficulté.
°960) Monnin, Le Curé d'Ars, l. III, ch. III.
°961) DOM GUÉRANGER, L'année liturgique; DOM LEDUC et DOM BAUDOT, Catéchisme liturgique; DOM FESTUGIÈRE, La liturgie catholique; F. CAVALLERA, Ascétisme et Liturgie; Cf. Ency. Mediator sur la liturgie, spécialement p. 15-20, Éd. Bonne Presse.
°962) Bien qu'on distingue que trois voies dans la vie spirituelle, il y a une assez grande différence entre les purifications passives et la contemplation suave pour qu'on puisse distinguer deux phases dans la voie unitive.
°963) Introït du dim. de la Septuagésime.
°964) Introït du 3e dim. de Carême.
°965) Introït du dim. des Rameaux.
°966)
Cette prière, composée par le P. DE CONDREN et complétée par M. OLIER,
est récitée, chaque jour dans les séminaires de Saint-Sulpice, à la fin de
l'oraison.
[SJJ: ma version papier dit ceci:]
Voir le Commentaire fait par M. MOURRET, Ps. 9 dans le «Bulletin
des Anciens élèves de St-Sulpice», 15 mai et 15 août 1938.
[SJJ: la version électronique dit plutôt ceci:]
Le VÉN. P. LIBERMANN l'a pieusement commentée, Lettres, t. II, p.
506-522.
°967) J.-J. OLIER, lettre 432, t. II, éd. de Gigord, 1935.
°968) J.-J. OLIER, Journée chrétienne, p. 395-396, éd. Poussielgue, 1875.
°969) Pour compléter ces indications, voir l'excellent ouvrage de P. POURRAT, La Spiritualité chrétienne, 2 in-12, Paris, Gabalda, 1918-1921.
°970) CAVALLERA, Rev. d'As. et de Mystique, Oct. 1920, p. 351-360.
°971) P. GUILLOUX, Rev. d'As. et de Mystique, Juillet 1922, p. 282-300; DOM MÉNAGER, Vie spirituelle, Janv. 1923, p. 407-430.
°972) A. D'ALÈS, Rev. d'As. et de Mystique, Juil. 1921, p. 256-268.
°973) P. POURRAT, op. cit., t. I, p. 269-344, donne une synthèse de sa spiritualité.
°974) Ce livre, qui est une vraie théologie pastorale encore très utile aujourd'hui, a été adapté aux besoins de notre temps, par Mgr Hedley, sous ce titre Lex Levitarum, la formation sacerdotale d'après S. Grégoire, trad. par D. Bède Lebbe, Paris, Desclée, 1922.
°975) Un trad. française a paru dans la collection Pax, Desclée. Encycl. «Doctor mellifluus» de Pie XII, 24 mai 1954.
°976) M. SALVAYRE, S. Bernard, maître de vie spirituelle, Avignon, 1909.
°977) Revelationes Gertrudianae ac Mechtildianae, publiées par les Bénédictins de Solesmes, 1875-1877; trad. française: Le Héraut de l'amour divin, 1878; ou Insinuations de la divine piété, 1918; Exercices spirituels de Ste Gertrude (Art catholique); Ste Gertrude, sa vie intérieure, par D. G. DOLAN, collect. Pax, 1922.
°978) DOM J. HUYBEN, Vie spirit., nov. 1922, janv. 1923, p. [22], [80] ss.
°979) Voir la Vie spirit., n° d'Août 1921 consacré à la spiritualité dominicaine; P. MANDONNET, S. Dominique, L'idée, l'homme et l'oeuvre, 1921.
°980) Le Paradisus animae, trad. par le P. Vanhamme sous ce titre: Le Paradis de l'âme (Saint Maximin, 1921), et le De adhaerendo Deo, trad. par le P. Berthier sous le titre de l'Union avec Dieu, ne sont pas de lui, mais sont des opuscules du XIVe ou du XVe s., très édifiants.
°981) Cfr. Vie spirituelle, n° d'Avril 1923 en entier.
°982) Cfr. MGR WAFFELAERT, ev. de Bruges, qui explique sa doctrine dans L'Union de l'âme avec Dieu, traduit par R. HOORNAERT; DOM J. HUYBEN, Jean Ruysbroek, dans Vie spirit., Mai 1922, p. 100-114.
°983) Une édition complète et critique de toutes ses oeuvres vient d'être publiée par M. J. POHL: Thomae Hemerken a Kempis... Opera omnia, 7 vol., Herder, Fribourg, 1922.
°984) Trad. anglaises: A book of spiritual instruction, London, 1900; Comfort for the faint-hearted, 1902; Mirror for monks, 1872.
°985) En ce moment, les Bénédictins publient dans la collection Pax une série d'ouvrages de spiritualité qui sera fort utile aux âmes avides de perfection.
°986) Librairie Saint-Maximin (Var), où les PP. Dominicains publient aussi une collection de Chefs-d'oeuvre ascétiques et mystiques, qui ne peuvent que nourir et fortifier la vie chrétienne. [SJJ: cette note de bas de page est au bas de la page xxxii, où il reste cinq entrées pour L'école dominicaine avant 18 entrées pour l'école Franciscaine, mais je ne vois pas d'où elle vient (je ne vois pas de petit (1) dans le texte).]
°987) La meilleure édition est celle de Madrid, 1919: Exercitia spiritualia S. Ignatii de Loyola et eorum Directoria, où l'on trouve quatre textes parallèles: l'autographe espagnol, la version latine dite Vulgate, la première version, la traduction du P. Roothaan. En français voir l'éd. Jennesseaux.
°988) Études religieuses, t. XIX, p. 134. -- Sous la direction du P. Watrigant, se publie, en Belgique, la Bibliothèque des Exercices de S. Ignace (aussi chez Lethielleux, Paris), où on trouve tout ce qui peut, au point de vue historique et doctrinal, faire mieux comprendre les exercices.
°989) Lettres de S. Ignace de Loyola, traduites par le P. M. BOUIX, Paris, 1870.
°990) Publié par F. THIBAUT, Louvain, 1922.
°991) Une nouvelle édition vient d'être publiée par le P. Watrigant, Lethielleux, 1922.
°992) Cfr. H. BREMOND, Histoire littéraire... t. V, L'École du P. Lallemant et la tradition mystique dans la Cie de Jésus, Paris, 1920.
°993) P. BAINVEL, Les écrits spirituels du P. V. Huby, Rev. Ascét. et Mystique, Avril 1920, p. 161-170; Juil. 1920, p. 241-263; l'auteur prépare une édition critique de ces écrits.
°994) Il semble bien que le nom de la Sainte doive en français s'écrire avec une h (Études carmélitaines, 1922, p. 248).
°995) Pour bien comprendre sa spiritualité, voir F. VINCENT, S. François de Sales directeur d'âmes, Beauchesne, 1923. Cf. H. BRÉMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux, t. I et II.
°996) H. BRÉMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux, t. III, 1921, nous donne une magnifique synthèse de la doctrine de cette École; mais quand il arrive à l'ascèse, il laisse de côté l'abnégation et la pratique des vertus crucifiantes (mortification, humilité, pauvreté) que cette École considère comme des moyens nécessaires pour arriver à l'union au Verbe incarné: on n'adhère à Jésus qu'en se détachant de soi-même et des créatures et en crucifiant la chair ou le vieil homme. J. GAUTHIER, L'esprit de l'École francaise de spiritualité, Paris, Bloud, 1936. L GOGNET, La spiritualité française au XVIIe siècle, Paris, La Colombe, 1949.
°997) Cfr. MAYNARD, Vertus et doctrine spirituelle de S. Vincent de Paul, Paris, 1882.
°998) H. BRÉMOND, t. III, p. 460.
°999) Pour les diverses éditions de M. Olier et de ses disciples, cf. L. BERTRAND, Bibliothèque sulpicienne, Paris, Picard, 1900, 3 vol. in-8°.
°1000) PIOGER, St Jean Eudes, 2 vol., Paris, Bloud, 1940.
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