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Programme électoral
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Programme électoral
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Pour rédiger un programme électoral, on doit à un moment donné rassembler «la matière première», les morceaux dont on va se servir pour écrire le programme.
Afin d'accélérer ce processus, je suggère en gros d'avoir une page de HTML par chapitre du programme, et qu'ensuite les gens qui veulent aider «adoptent» un ou plusieurs chapitres. Ces Responsables de chapitre «remplissent les trous», intègrent les suggestions, les corrections, etc. À la fin on rassemble ces chapitres et on écrit une version du programme. Et on recommence la moulinette! (Je pense que ça va nous prendre quelques boucles avant d'avoir un résultat présentable.)
J'invente à mesure, mais j'imagine que le responsable devrait:
2.1) Respecter le gabarit de chapitre. Voir ci-bas.
2.2) Écrire en HTML. Ne vous inquiétez pas, c'est ridiculement facile.
2.3) Traduire tout dans l'autre langue officiel (anglais ou français). Ne vous inquiétez pas, c'est une bonne idée! Comme à ce stade-ci on ne veut pas faire de la rédaction, mais bien rassembler les matériaux, en théorie on devrait surtout rassembler des références. Par exemple, dans le chapitre «Environnement», on pourrait avoir:
- Pour améliorer le transport en commun: tel livre, telle page.
- Sur l'impossibilité de remplacer l'essence par les bio-carburants: telle
étude, tel lien sur l'Internet.
- etc.
Se forcer à tout traduire (ou tout faire traduire) freine la verbosité et décourage la tendance à «réinventer la roue». Si on trouve la même chose, déjà traduit dans les deux langues, dans un autre programme électoral, ou sur l'Internet, alors voilà! Problème reglé! C'est aussi une bonne idée que chaque responsable de chapitre se trouve un «vice-président» qui parle l'autre langue (on peut mettre une petite annonce sur l'autre côté du site web à cet effet). Déjà là, on doit «tisser des liens» avec «l'autre côté»!
2.4) Intégrer les suggestions et corrections des citoyens ordinaires. En théorie, on devrait passer des circulaires de porte-à-porte, invitant tous les citoyens à participer. Une personne ayant une bonne idée, supposons, pour améliorer l'industrie du sirop d'érable, regarderait dans la Table des matières du programme, trouverait le responsable de ce chapitre, et lui enverrait sa suggestion.
J'invente à mesure, mais j'imagine qu'on pourrait avoir une structure du genre:
3.1) Survol du chapitre. De quoi on parle. De quoi on ne parle pas.
3.2) Principes chrétiens qui s'appliquent. En gros les versets de la Bible et les numéros du Compendium qui ont rapport.
3.3) Suggestions de politiques pratiques. La matière en tant que tel de ce programme électoral générique.
3.4) Suggestions d'adaptations pour des juridictions. Par exemple, des politiques spécifiques au Québec, ou au Canada.
3.5) Opinions divergentes. On est en politique, pas en religion. Même dans le catholicisme la règle est: «In necessariis unitas, in dubiis libertas, in omnibus caritas» (L'unité dans les choses nécessaires, la liberté dans les incertaines, et en tout la charité). Alors manifestement en politique il faut faire de la place pour les opinions divergentes.
3.6) Des questions pour l'instant sans réponse.
3.7) Respecter le format des références bibliographiques. Pour l'instant, nous employons le format du chapitre 4.2.1.2) L'instruction publique.
Etc.
Une seule personne ne peut pas écrire un bon programme électoral. En fait, écrire un bon programme est si difficile, que c'est une activité politique. Il faut un grand nombre de personnes, très dévouées et compétentes, et bien gouvernées.
Vous voulez aider? Contactez-moi!
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